Aujourd'hui j'aimerais te rappeler la première chose à faire pour aller mieux : investir pour toi et reconnaitre ta valeur. Le temps et l’argent sont deux thèmes profondément importants dans la vie de tout le monde, et encore plus chez les personnes qui font un burn-out. La tendance à se sur-investir dans des projets extérieurs à soi (travail, famille, amis, bénévolat, autres initiatives, formations, etc.) est forte chez les personnes multipotentielles, qui sont aussi souvent très empathiques et ont tendance à s’oublier elles-mêmes au milieu de tout ça. Le retour à soi demande de prendre le temps de le faire. Passer du temps à faire des choses avec soi-même et pour soi-même. Des pratiques corporelles, des exercices d’amour de soi, de la méditation, des balades seules, des temps de repos, etc. Ce temps existe, il suffit de te remettre en priorité. Et je dis « il suffit » car c’est une décision que tu peux prendre à tout moment. Se remettre au centre de sa vie demande cependant de reconnaître sa propre valeur. Et les personnes multipotentielles ont souvent l’impression d’avoir plutôt accumulé des échecs et vivent le syndrome de l’imposteur. Pour changer cela il va falloir changer ses croyances sur soi et sur ce qu’on a accompli. C’est en fait seulement un changement de perspective, de filtre. Et ça se travaille. Un lien existe aussi entre sa réalité financière et la valeur que l’on se donne. Il y a plein de critères qui font que ta réalité financière actuelle est ce qu’elle est aujourd’hui. Ton éducation, tes croyances, le lieu où tu es né-e, ton entourage, ta volonté, ton énergie, les désirs de ton âme, ton chemin de vie, et j’en oublie sûrement. Mais tu peux transformer tout ça à ton avantage. J’aimerais aujourd’hui te parler de ta valeur, ou plutôt de la valeur que tu penses avoir. Car tout le monde a de la valeur. Mais sais-tu quelle valeur tu t’accordes ? Quel temps tu passes à t’occuper de toi, te faire du bien, faire ce qui te fait plaisir, te donne de la joie et de l’énergie. Quelle place te donnes-tu dans ta vie ? Non ce n’est pas égoïste de se donner de la place, car plus tu t’aimes, plus tu peux aimer les autres et leur donner. Si tu ne fais que te mettre en retrait, au bout d’un moment tu seras vide. Je le sais car je suis passée par là et je vois beaucoup de mes clientes être dans ce schéma. Donner pour sauver le monde, sauver les autres, mais s’oublier en chemin et finir au fond du trou. On t’a peut-être inculqué que tu n’as pas de valeur, pas de pouvoir, que tu ne peux ou ne sais pas faire grand-chose et pourtant si tu penses le contraire, tu vas grandir et t’épanouir. C’est la même chose pour l’argent. L’argent est une énergie, un moyen d’échange. Dans notre système sociétal actuel, et on peut penser ce qu’on veut, et peut être que c’est en train de changer et cela changera, pour l’instant on a besoin de l’argent pour échanger des services, donner et recevoir. La loi du donner et recevoir n’est pas forcément unilatérale. Tu peux donner à une personne qui ne te donnera rien en échange. Mais c’est un autre individu qui te donnera à toi et pourtant à lui tu ne lui auras rien donné. Il faut donc accepter de recevoir pour que ça circule. Quand tu donnes à quelqu’un, le fais-tu pour qu’il t’apprécie ou vraiment parce que ça te fait plaisir ? Attends-tu quelque chose en retour ? Quand on donne vraiment, sans attente de résultat, ce qui nous revient en retour est phénoménal, des situations, des portes qui s’ouvrent, des opportunités, synchronicités, etc. Mais pour cela il faut ouvrir son cœur et être prêt à recevoir. Et pour ça la meilleure chose à faire c’est d’apprendre à se donner à soi-même, à recevoir de soi. Tu dois te traiter comme tu aimerais que les autres te traitent, t’aimer comme tu aimerais que les autres t’aiment ; comment peux-tu attendre des autres quelque chose que tu ne sais pas te donner ? Tu veux le respect ? Respecte-toi Tu veux de l’amour ? Aimes-toi Tu veux qu’on reconnaisse ta valeur? Reconnais-la en premier Tu veux de l’argent ? Investis en toi Donc si tu te prives de te donner à toi même ce que tu mérites, comment vas-tu recevoir ce dont tu as besoin ? A combien estimes tu ta valeur financière ? hahahah oui je sais c’est une question bizarre mais quel chiffre vient ? Observe sans juger. A combien estimes tu que tu mérites d’investir sur toi pour t’épanouir et aller mieux ? J’entends souvent des gens qui disent vouloir aller mieux mais ne sont pas prêts à s’investir en temps et en argent pour travailler sur eux. Regarder des vidéos Youtube, c’est bien. Lire des livres de développement personnel aussi. Mais au final c’est te remettre au centre de ta vie qui va t’aider à te transformer et cela a un prix. Cela fait 12 ans que je travaille sur moi. Je suis ultra formée, et j’ai fait des milliers d’heures d’accompagnement. En calculant grossièrement toutes les formations que j’ai faites, je pense que j’ai dû dépenser en gros à peu près 60 000 CHF. Dans mon accompagnement je te transmets la combinaison de mes meilleurs outils et de mon expérience pour t’éviter 10 ans de travail pour te transformer et t’épanouir. Alors à quel montant estimes-tu la valeur d'un accompagnement de cette qualité avec une experte, avec tout ce qui est inclus dedans? Observe tes croyances sur l’argent, le monde, sur toi et ta valeur, et ce que tu mérites dans la vie. C’est quoi le prix que tu mets sur ton apprentissage, ta transformation et ton bonheur ? Envie d'investir enfin pour toi? L'appel diagnostic se réserve sur ce lien: 💰💰"Je prends rendez-vous maintenant!"💰💰 A très bientôt ! Sylvie
0 Comments
Le burn-out est malheureusement devenu de plus en plus commun. Les arrêts maladies et l’absentéisme coûtent cher aux entreprises aujourd’hui et ont des conséquences terribles sur les individus.
J’ai fait un burn-out il y a 11 ans. A l’époque c’était un mot encore peu utilisé voire tabou. Aujourd’hui il est devenu presque commun et certaines entreprises se disent « dans la norme » quand elles relèvent les statistiques des employés touchés. Mais rien de tout ceci n’est normal. Face à ce fléau, il semble que notre société soit quelque peu démunie, même si peu à peu des mesures commencent à voir le jour. Pourquoi ? Parce que cette « maladie » pas encore reconnue comme telle d’ailleurs, a de multi-causes et de multi-conséquences, autant sur la santé physique, que mentale et émotionnelle de la personne. Les liens de causes à effets sont extrêmement difficiles à évaluer. Les statistiques et les recherches sont malheureusement biaisées car de nombreuses personnes en burn-out le vivent de manière cachée pour éviter les jugements voire les sanctions. Si les causes sont multiples, cela signifie que les responsabilités le sont également. Comme dans tout type de relation, il y a une part de responsabilité de chaque côté. Si les entreprises sont clairement appelées aujourd’hui à entamer une vraie réflexion, il est aussi primordial que l’individu se questionne sur lui-même. Le troisième aspect est notre mode de vie, et notre société, et de cela nous sommes tous et toutes responsables; il est donc essentiel que nous fassions tous un travail de prise de conscience. Il s’agit bien d’une question sociétale et systémique qui nous ramène à la notion de sens. Mais le sens c’est à nous de le créer. Il est facile de dire que c’est la faute de l’autre. C’est un réflexe courant et humain. D’un côté beaucoup de salariés pensent que c’est la faute de leur entreprise, de leur environnement de travail, de la quantité ou la mauvaise répartition des tâches, des objectifs irréalistes, de la pression extérieure, d’un mauvais management, de relations toxiques, etc. De l’autre côté on trouve des employeurs qui auraient tendance à dire que si leur employé est en burn-out c’est parce qu’il ne sait pas gérer le stress, voire qu’il est faible, ou encore trop ou pas assez qualifié, etc. Et s’il y a du vrai dans tout ça, il me paraît important qu’un dialogue plus authentique et bienveillant s’installe. Car on sait que ce n’est pas en rejetant la faute sur l’autre qu’on va trouver des solutions. A force que tout le monde fasse semblant, porte des masques, de plus en plus de gens s’écroulent quand il est déjà trop tard. Alors qu’il suffirait qu’on commence à s’autoriser à dire quand les choses ne vont pas, à accepter et communiquer notre vulnérabilité au fur et à mesure, tout simplement. Et en face il suffirait d'une oreille ouverte, attentive, compréhensive. Ce n'est pas si compliqué...Cela demande un esprit critique constructif envers l’autre mais aussi envers soi. Cela demande d’être capable de prendre de la distance, comme dans une relation pour voir ce qui vient de soi et ce qui appartient à l’autre, pour se retrouver et réfléchir ensemble à des solutions créatives. Cela revient à se demander : qu’est-ce que j’ai le pouvoir de changer, d’abord en moi? Qu’est-ce qui est important pour moi ? Comment je me ressource, de quoi j’ai besoin ? Comment je passe mon temps ? Est-ce que mes activités me nourrissent ou me pourrissent ? Qu’est-ce je lis, qu’est-ce que j’écoute, de quoi est-ce que je me nourris (au sens propre et figuré) ? Est-ce que je crée du sens et de la joie pour moi et les autres ou est-ce que je fais plutôt des activités qui baissent ma vibration ? Quels sont les liens que je peux et veux créer avec les autres ? Et ces questions autant l’employé que l’employeur doivent se les poser. La peur est souvent l’énergie amène à rejeter la faute sur l’autre. Se remettre en question demande du courage. Remettre en question notre société et nos habitudes demande du courage. Changer demande du courage. Si de plus en plus de gens tombent malade, c’est bien parce que notre manière globale de fonctionner cloche; c’est à nous de nous guérir pour guérir la société, en faisant à la fois un travail individuel et collectif. Nous avons besoin de recréer du sens et de recréer du lien, de vrais liens. ... A suivre... |
AuthorSylvie Meynier Categories
All
|