Laughing Butterfly
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Putain, fait chier, bordel de merde….

11/19/2020

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Ou « La voix du jugement, de la colère et du désespoir »

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Hier soir, j’avais vraiment envie de « remonter sur mon balai » et de repartir sur ma planète d’origine…
Je suis passée de la gratitude et de la joie à la colère puis à la tristesse en quelques minutes.
J’avais passé une journée plutôt sympa. Je m’étais inscrite à une pratique des 5 rythmes pour prendre soin de moi. Au début j’étais vraiment contente de pouvoir danser, j’étais dans la gratitude pour ma journée.
 
Puis j’ai entendu une petite voix monter en moi :
« Comment pouvons-nous accepter de danser seul-e-s devant un écran ? C’est quoi ce monde de tarés… ? Qu’est-ce que tu fous ? bordel… c’est n’importe quoi !!!! »
C’était la voix du jugement. Celle qui a envie de hurler régulièrement depuis mars dernier, qui ne comprend rien à la gestion de cette « crise », qui se sent privée du droit de vivre ensemble.

Au début j’ai essayé de faire taire cette voix en la rassurant :
« ça va aller, c’est pas pour toujours, il y a beaucoup de peur ; c’est normal de pas tout comprendre, c’est tellement multi-critères ; ça va passer, chacun fait ce qu’il peut avec ce qu’il est ; il y a des opportunités de grandir ici, etc. »
 
Et puis la voix du jugement s’est mise en colère et est montée :
« oui mais on avait déjà dit ça en mars…. Et là on a bien remis de l’huile sur le feu, on est dans un truc de séparation maximale ; je ne supporte plus cette énergie de la division, cette agressivité latente, sans pouvoir se voir, se parler les yeux dans les yeux, retrouver ce qu’on a en commun. C’est du grand n’importe quoi ! C’est pas possible, monde de merde, monde de fous, on va pas s’en sortir !»

 
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Bref, plus je voulais calmer cette colère et plus elle prenait de la puissance. Alors je lui ai donné le droit d’être là. Je me suis autorisé le jugement de moi, de ma vision, du monde, des autres, de ce gros bordel. Je me suis autorisé à danser et crier cette colère, cette fatigue, ce ras-le-bol.
 
Et puis après la colère s’est transformée en tristesse, en incompréhension. J’ai demandé pardon à mon âme pour le choix de cette incarnation…, si si je te jure que j’ai fait ça…c’est ce qui m’est venu :
« non mais sérieux, je m’attendais pas à ça…. si j’avais su, je serais pas venue… je suis vraiment désolée. Je sais pas trop quoi faire. »
 
Et j’ai pleuré. J’ai pleuré ces larmes de tristesse, de lassitude, de ras-le-bol.
La petite voix était plus apaisée mais ça sentait le désespoir :
« Je me sens tellement seule. Je ne comprends rien. J’en ai tellement marre de pas être libre de mes mouvements et de mes gestes. J’en peux plus. Mon cœur va lâcher. Je ne suis pas venue ici pour vivre comme ça.»
 
J’ai continué de l’écouter, de la laisser parler, être.
C’est alors qu’une autre voix est arrivée.
« Tu as le droit de me sentir comme ça, c’est ok. Tu n’es pas obligée d’être toujours dans la joie, la sérénité, la confiance et la paix. Tu as le droit de péter un plomb. Tes émotions sont légitimes. Je suis là pour toi. »
C’était la voix de l’Amour… de l’Univers, de la Terre, de la Conscience, de mon âme ? Je ne sais pas mais wow c’était doux, c’était chaud, c’était bon.
 
Ensuite j’ai juste demandé à mon corps de m’aider, je l’ai encouragé à accueillir ce sacré mélange d’émotions, et à faire passer tout ça, à trouver le moyen de me rebrancher à l’amour, à la foi, à l’acceptation, la confiance, etc..
La connexion s’est rétablie. Merci la vie.

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Etre dans l’amour et la confiance n’est pas inné. En tout cas pas pour moi. Ce que je voudrais te dire aujourd’hui c’est que ce n’est pas parce que tu es dans une démarche de développement de toi (personnel ou spirituel) que tu n’as pas le droit de ressentir exactement ce que tu ressens, l'agréable comme le désagréable. 
Mais ce qui va faire la différence c'est la conscience que tu y mets: être dans la lumière est un choix. Etre dans la paix est un choix. On n’y arrive pas toujours. On a tous des jugements et des émotions désagréables (sinon c'est que tu es mort...). Et on peut se laisser déborder, envahir, submerger par tout plein d’autres choses. C’est ok. On a le droit. On est des êtres humains. On traverse un truc de ouf en ce moment. Il y a tellement de niveaux que je serais ravie d’en parler de vive voix avec toi un de ces jours.  Dans tous les cas, on a le droit de sentir exactement ce qu’on ressent.

Par contre  ce que j’aimerais te suggérer c’est d’être brutalement honnête avec toi-même : prends le temps d’ouvrir un dialogue avec ton âme pour décider quoi faire avec ce que tu ressens, comment l’accueillir et comment le faire sortir. Car le moment et la manière choisis sont importants. Si tu as besoin de soutien, prends contact avec moi.
Prends soin de toi, prends soin des autres.

Et si tu as aussi envie de remonter sur ton balai, rends-toi dans la boutique Ehway
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Comment gardes-tu la foi et le moral avec la situation que nous traversons actuellement?

10/13/2020

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L'arrivée du Covid-19 et sa gestion sont venus chambouler nos vies en 2020.  Nous sommes tous touchés d'une manière ou d'une autre. Nous ne traversons pas les choses de manière égale, bien sûr, en fonction de notre situation socio-économique d'abord, du pays où l'on vit, et aussi de nos connexions humaines, de nos ressources mentales, et de notre faculté de résilience.

De mon point de vue, la situation actuelle:

1)  nous invite à regarder nos valeurs, nos croyances, et aussi nos désirs profonds.
2)  nous demande sans arrêt de nous adapter, de lâcher le contrôle, de faire preuve d'une grande créativité et souplesse, et tellement d'autres choses.
3) exacerbe aussi les polarités et une énergie de la division. Parce que nous ne sommes pas tous d'accord, on se sent incompris, différents et on juge les autres.

Malheureusement, même si cela a du bon, cela vient aussi nous challenger et nous fatiguer. Devoir se réinventer en permanence, même quand on aime le changement, demande un effort constant.
Les polarités, la division et la séparation ne sont pas des énergies issues de l'amour universel et cela peut nous affaiblir fortement, au niveau physique et mental. On serre les dents, on se tend, on dort moins bien, on réfléchit beaucoup, on s'énerve, on n'arrive pas à lâcher prise sur ce qui est hors de notre contrôle, etc. Cela peut venir nous couper de la foi et du flow, et nos ressources s'amoindrissent rapidement et si on ne fait pas attention, on risque de se vider. Je le sais car je le vis, comme toi. 



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Ce qui m'aide c'est de reconnaître quand je suis dans le jugement, car même si la théorie du non-jugement est magnifique, elle n'est pas évidente à appliquer au quotidien. En effet, dans le monde de la pleine conscience, du développement personnel et de la spiritualité, on nous parle souvent du non-jugement. J’ai toujours trouvé cela fort intéressant, et très beau en théorie mais parfois très difficile à mettre en pratique. Et pour dire toute la vérité, je suis parfois sidérée de voir certains enseignants, ou personnes dites « éveillées » prôner le non-jugement alors qu’elles ne l’appliquent pas elles-mêmes. 
D'après mon expérience, tant que nous n’acceptons pas ce qui se passe en nous, nous ne pouvons pas avancer et évoluer. Alors commençons par être honnêtes, acceptons que nous sommes des êtres imparfaits, et que nous avons beau essayer de ne pas être dans le jugement, nous n’y arrivons pas toujours. Et que c'est ok, nous sommes humains...
Une fois que nous reconnaissons cela, nous pouvons en faire quelque chose: observer que peut-être cela nous déprime. Personnellement j'aime profondément l'humain mais la violence verbale autant que physique me désole. Je me désespère, je perds la foi, etc. 
Mais... j'apprends à l'accepter pour l'instant. Ce qui est intéressant c'est de constater que quand je juge l'autre parce qu'il réagit violemment, ou parce que j'ai l'impression qu'il dit n'importe quoi, je me fais du mal à moi-même, et je m'épuise parce que je le considère comme différent de moi.  Etre dans le jugement  nous sépare des autres, de nous-mêmes, et donc peut nous couper de la connexion à l’Univers, car au final nous sommes tous issus de la même Source, et nous incarnons tous une version différente de celle-ci, avec nos parts d'ombres et de lumière. Quand je juge l'autre, je me coupe alors du flow en me privant de cette connexion à l'Univers. 

Pouvoir être dans le non-jugement nous ramène à ce que j'ai de commun avec l'autre. Il s'agit donc de reconnaître que l'autre, même s'il ne pense pas la même chose que moi, même s'il réagit différemment, etc. fait de son mieux, avec ce qu'il sait ou croit savoir, avec son parcours de vie, ses émotions, ses difficultés... et qu'au final on souhaite tous la même chose, vivre heureux, en paix, en sécurité, etc. C'est un travail de chaque instant, il est intéressant de s'observer et de voir combien de fois dans la journée je retombe dans le jugement, comment je me sens quand je suis dans cet état. Et comment je me sens quand je reviens à l'amour, à l'union, à ce qui me relie à lui, comme si je le voyais pour la première fois.

Voici un mantra que je trouve intéressant d'utiliser:
Je reconnais que je me suis trompée, que je suis dans le jugement à cet instant. Je pardonne cette pensée et je choisis différemment. Je m'accepte avec mes dualités et mes limitations, et j'accepte l'autre tel qu'il est, avec ses dualités et ses limitations. Je choisis l'amour et l'unité. Univers, merci de m'aider à revenir à cela le plus souvent possible. 

Essaie, et dis-moi comment ça se passe pour toi. 


Les autres choses importantes pour moi pour garder la foi, la sérénité et le cap sont:
se reposer, être à l'écoute de mes besoins, prendre soin de moi, avoir une pratique spirituelle (quelle qu'elle soit) quotidienne pour me connecter à la source infinie d'amour inconditionnelle, et  aussi de recevoir des autres, de l'extérieur, car nous avons plus que jamais besoin de ce lien humain. 

Et toi? comment fais-tu? 

​Besoin de soutien? Réserve une séance avec moi

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Comment rester connecté-e à sa puissance intérieure en ces temps tourmentés ?

7/29/2020

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La situation mondiale actuelle nous pousse dans nos retranchements. Nous avons toutes et tous dû nous adapter rapidement à des changements et des mesures parfois incompréhensibles. Selon notre niveau socio-économique et notre lieu de vie, nous avons traversé des choses bien différentes, mais nous avons toutes et tous traversé quelque chose, et nous le traversons encore. Prenons le temps de reconnaître ce qui a changé en nous, autour de nous. Il est important d’accueillir et de digérer les diverses vagues d’émotions.
Aujourd’hui encore je vois passer beaucoup de commentaires et j’entends des remarques agressives et intolérantes dans tous les coins ; je joue aussi ma part dans cette dynamique, même si j’essaie de le faire le moins possible. Nous sommes sans arrêt dans le jugement (moi y compris) et parfois aussi dans les conclusions hâtives. Derrière les gens qui portent des masques, il y aurait de la peur, des moutons, etc. Derrière ceux qui refusent de le porter des égoïstes et des irresponsables, etc. Personnellement je refuse de croire cela et de jouer ce jeu de la division. La situation est ultra complexe, multi-niveaux, multi-critères.
Je n’ai pas envie de rentrer dans cette énergie de l’intolérance et de la séparation. J’ai mon avis sur la question bien entendu, et cela me regarde. Dans tous les cas, derrière ce choix, il y a des valeurs, des filtres, des croyances, des émotions et probablement des blessures. Il est parfois difficile de voir cela chez soi comme chez l’autre, mais cela me paraît tellement important. Alors faisons un pas au fond de soi d’abord, puis vers l’autre pour essayer de le comprendre. Pour moi dans tout ce qu’on lit on peut trouver une part de vérité, et on peut tout prouver, ainsi que son contraire. L’incohérence, les contradictions, les différences d’opinion, les incompréhensions peuvent nous bouleverser, nous déstabiliser et nous épuiser. Cependant il n’y a pas UNE vérité mais bien DES vérités. Il y a aussi des mémoires inconscientes individuelles et collectives qui remontent à grand flot. Pour moi ce n’est pas négatif, au contraire, même si c’est difficile, tout ce qui remonte peut être guéri ! C’est une occasion en or si on est prêt-e à aller regarder et travailler cela consciemment.
Pour commencer, il est plus que jamais primordial de rester centré : prenons une respiration et reconnectons-nous à notre essence, pour sentir ce qui est juste pour nous. Dès que nous en sentons le besoin, retirons-nous de ce brouhaha général et revenons à notre corps et notre essence. Qu’est-ce que cette situation réveille en moi ? De quoi j’ai besoin ? Comment puis-je me reconnecter à moi ? Comment puis-je me remplir, me recharger d’amour et de bienveillance, penser et agir par moi-même sans me mettre en colère contre l’autre parce qu’il ne partage pas mon avis.


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Récemment j’ai vécu un moment de stress intense et cela m’a permis de me rappeler à quel point les émotions difficiles sont fatigantes.  Notre flux énergétique se bloque et notre corps en fait les frais. On peut vite s’y habituer, mais le mal-être n’est pas normal et n’est pas quelque chose auquel on devrait s’habituer. Je crois profondément que la légèrèté et la joie sont notre état naturel, auquel nous avons toutes et tous droit ! Une chose que je fais régulièrement c’est me nettoyer pour laisser aller les énergies et les émotions qui ne m’appartiennent pas : faire de la place, laisser aller tout ce dont je n’ai pas besoin, tout ce qui entrave ma connexion à ma puissance intérieure, à mon âme. Ensuite je demande ma recharge énergétique ET je rappelle à moi toutes les parties de moi que j’ai abandonnées, tous les fragments de mon âme qui sont partis ailleurs, les énergies que j’ai laissées dans des situations ou avec des personnes. Tu peux faire ça en visualisation, en mouvement, ancré-e dans la Terre ou juste avec les phrases. Il y a plein de façons de pratiquer, l’important c’est l’intention.
Après m’être nettoyé-e et rechargé-e, je suis alignée et je peux prendre le temps de sentir avec l’entier de mon être ce qui est juste pour moi et comment avancer dans ce monde tourmenté. Je peux aussi écouter l’autre, mieux le comprendre et continuer de lui envoyer de la lumière et de l’amour même si je suis en désaccord. Personnellement je choisis de me concentrer chaque jour sur ce qui est lumineux et beau dans ce monde, car il y a beaucoup plus de belles choses, belles personnes et de lumière qu’on ne le nous le montre. Après, je comprends aussi que pour d’autres personnes c’est important de parler, de crier, de se révolter, de se battre, de défendre haut et fort son opinion. Ce n’est pas mon combat car cela me vide d’énergie, mais je sais que pour d’autres, cela les remplit. C’est à toi de savoir et surtout de sentir ce qui est juste pour toi. Le monde a besoin de tout le monde, des gens au front, comme des gens derrière qui soutiennent l’ascension de la vibration, le nettoyage, etc.
 
Si tu as envie de te reconnecter à toi, de te recharger, de retrouver joie, légèreté, prends rendez-vous avec moi pour un appel découverte gratuit : on fera le point ensemble et je t’expliquerai comment je travaille. 
 
Tu peux aussi rejoindre mon cours en ligne : Déploie ta puissance et incarne la confiance en toi. 5 pratiques guidées téléchargeables pour travailler sur tous les niveaux de ton être.

 
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Why it's ok to feel what you feel (whatever that is) - and why I choose to share my meltdown with you

4/15/2020

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Yesterday morning I had a meltdown. I haven’t had a meltdown in a long time.  I had some in the past of course, because like everyone I am human. But since the beginning of this worldwide “pandemic” situation, I actually have been feeling pretty good. I feel like I’ve been “prepared” for this. Over the last few weeks I did experience a rollercoaster of mixed emotions but I was definitely able to watch them, let them come to the surface, and process them to reflect or work on myself, grow in a way, all in good spirits. I also had time to take care of myself and do a lot of things that I enjoy: meditating, reading, gardening, forest bathing, reading. I gave myself permission to let go of pressure, and chose to work when I felt it was ok for me to do so. I had some great moments of communion with nature and of connection with the Universe, the Source, whatever you want to call it. I had some deep insights, and I also experienced some profound joy. This, in parallel with sadness, anger, fear, guilt, etc. All at the same time, and totally fine with it all. I was not only finding my own journey really interesting but also the journey of the collective and everyone I hold space for in these times.
 
And I am not sure what happened yesterday exactly and I can only describe it and understand it from my reality but I clearly felt that my soul wanted me to go through this meltdown, to remind me what it is like, and that to remind me that this also would pass. I am glad I did experience it, even if it was painful: the puffy eyes from not being able to stop crying, the headache from dehydration, the exhaustion from the need for the body to recover, the desire to numb myself from those feelings.
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Until Monday I had been very good at setting proper boundaries regarding the use of my time: limiting my time on the internet, choosing when I wanted to connect with friends, and looking carefully when I was happy and ready to work with a client. On Monday, though, I kind of lost myself in the news and social media. And the more I read and watched, the more I felt I wanted to go all the way in, like something was pulling me. I did go in step by step, consciously observing what I was feeling was I was doing it. Being aware did not, however, prevent me from taking it “too” far and getting triggered. So at the end of the day when I went to bed I felt very angry and sad (not scared for some reason). I got up yesterday morning with a knot in my belly, a pressure in my liver both in the front and in the back. After 10 minutes of meditation I started crying my heart out. And it felt strange, it was both a great sense of release, and yet it was so painful.
 
Because I have experienced this before, I know how to take care of myself, to listen to my needs, to process, to let it be and pass in its own time, to appreciate what I can learn, etc.  
 
But that is not the point of this article. My point is this: I work in the field of holding space for other people, my job is to make them feel safe, in a place where all emotions and all parts of themselves are welcome. And I want to say this, because as therapists we are often taught not to share our own vulnerability with others. I say F*** this. I have never applied this rule because I do feel the opposite is more powerful. To remind yourself and others that we are all human beings. And that nobody should be a on a pedestal where “enlightenment” and “awakening” looks like everything is fine all the time. Because it is NOT and that would set an unrealistic and impossible goal to achieve.

This is true not only for my profession, but also for all the doctors, nurses and helpers out there. It is true for, the police, the firefighters, the security guards, dance teachers, yoga teachers, meditation teachers and all the other “gurus” (in the teacher sense) out there; it is also true for your parents, the friends you admire and think are strong. This is true for everyone!
And more to the point, just because you have up and downs, and you allow your meltdowns to exist and to be seen, does not mean that you can’t be there for somebody else. I can still be there for my friends. I can still work with my clients. And that is because I know how, when and who to turn to when I need support. And everyone should also have that: a friend, a community, a professional, a book, a tool. Etc. But if we keep denying ourselves the right to be vulnerable, we deny ourselves the right to be human, and that is what we all are. Even more so now.
 
And please, let’s stop telling people how they should feel. Let’s stop telling people they should not complain. Let’s stop telling people they should be happy they have a roof over their head. Let’s stop comparing. Let’s stop making people feel guilty. Everyone is on a journey here. Some might feel happy, grateful and calm; others might feel angry, scared and sad. Some might feel all of these, at the same time, or at different moments. Some might feel nothing. Some might feel it strongly. Some might feel it gently. Some might enjoy this moment to take care of themselves. Some might feel they have to do more. Some might want to do nothing. Some might want to talk, some might want to stay silent. Some might feel deeply some old wounds coming back to the surface. Some might feel a big opening...Some might already be very resilient, some might not.  
We don’t heal by judging our emotions, and we don’t help anyone by telling them how they should or should not feel. Only they can know how they feel. We need to try and meet one other where we are, being aware that even if we wish we were in the same place, we might not be, and that’s ok. We might feel strong in some moments and vulnerable in others, and really that's ok. 

My hotline is free and open to all in case you do need to talk and be held in safe space: ​https://calendly.com/laughingbutterfly/hotline-laughing-butterfly
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Comment bien vivre la transition vers le printemps

3/10/2020

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Le temps cet hiver a été assez surprenant, une sorte d’invitation à s’adapter de plus en plus aux changement rapides et drastiques. Du chaud au froid, du gel à la douceur, de la neige à la pluie, des giboulées au grand soleil, du vent agité au calme. Une belle métaphore de la vie que l’on traverse, avec ses hauts et ses bas, ses moments de joie et ses moments difficiles, ses pics d’énergie et ses fatigues.
Le changement de temps et de température soudain et constant peut être assez néfaste pour notre santé, car cela demande beaucoup d’énergie au corps de s’adapter constamment, et cela va bien sûr impacter notre manière de gérer et digérer nos émotions et les aléas de la vie.

Avoir conscience du changement énergétique
En occident, le printemps démarre officiellement le 20 mars, mais en médecine chinoise, il a déjà commencé. C’est parce que la médecine chinoise considère qu’il y a 5 saisons, reliés à 5 éléments, et qu’elles sont basées sur l’aspect énergétique de ces éléments. Cela signifie tout simplement, que pour nous tout comme pour la nature, le potentiel à s’ouvrir, fleurir et à s’épanouir arrive énergétiquement avant de se matérialiser concrètement.
Il est donc primordial en ce changement de saison d’apporter de l’attention à sa santé, et de prendre soin de soi afin que cette transition se fasse le mieux possible.

Se reposer et écouter son corps

A l’arrivée du printemps, on expérimente souvent un changement d’humeur : plus de soleil, plus de temps dehors, un sentiment d’ouverture, de renouveau, d’espoir et de joie. C’est super ! Mais il se peut aussi que nous nous sentions très fatigués. Et en fait c’est complètement normal. L’énergie ne suit pas et on se demande pourquoi : les jours augmentent très vite et notre corps doit se réhabituer. Nous avons aussi vidé nos ressources pour « résister » à l’hiver. Notre système immunitaire est bas et notre stock de vitamine D aussi. C’est la fin de l’hibernation mais comme nous fonctionnions au ralenti pendant l’hiver, nous avons besoin de temps pour nous réveiller, comme la nature.
On accepte plus facilement la fatigue lors du passage de l’automne à l’hiver : on a souvent un petit coup de déprime mais comme les jours diminuent on accepte notre besoin de repos et on va se coucher plus tôt, on dort plus. Pourtant on devrait vraiment apprendre à se reposer également quand le printemps arrive et à ne pas se surmener et risque de tomber malade parce qu’on est « censés » se sentir bien.
Par exemple avec la durée des jours qui augmente on pourrait croire qu’on a moins besoin de sommeil. Pourtant bien dormir et dormir suffisamment est primordial pour rester en bonne santé. Peut-être même se coucher un peu plus tôt si on est fatigué, et respecter nos cycles, d’écouter et de faire confiance à notre corps plutôt que de résister et de lutter.

Accepter, accueillir  et s'écouter
Donc, en gros, comme pour tout moment difficile, émotions délicates, pertes, changements, la clé est l’acceptation et l’accueil. Laisser aller les « je devrais » « il faut que » et écouter nos sensations physiques. Je ne suis pas en faveur des dogmes et des extrêmes et je pense que tout le monde est différent et doit apprendre à savoir ce qui fonctionne pour lui. Bien sûr il est essentiel de se nourrir de manière saine et de bouger son corps, mais ce qui me convient à moi ne vous conviendra pas forcément. Donc c’est à vous de tester, d’essayer et d’apprendre de quoi vous avez besoin et envie, ce qui marche pour vous. Le printemps reste toutefois un bon moment pour faire une détox du foi, mais encore une fois à votre manière, ce qui fonctionne pour vous.  
 
Le printemps est aussi un moment qui nous invite à nous extérioriser plus, mais encore une fois, l’équilibre entre le  que vous passez avec les autres et les moments d’intériorité est très personnel ; c’est à vous de tester et de voir ce qui vous convient, sans vous comparer aux autres.
 
Observer ses pensées et ses paroles
Et bien sûr j’aimerais vous inviter à observer vos pensées et les mots que vous utilisez. J’entends souvent des gens parler de lutte, de bataille, de besoin de contrôler ses émotions, maitriser ses pensées, etc. En fait, quand nous nous écoutons, que nous accueillons et nous abandonnons à ce qui se présente, la vie commence à être plus fluide. Quand nous luttons contre une partie de nous-même, contre nos besoins et nos désirs, nous nions à notre corps et notre âme la possibilité de développer leur plein potentiel. Quand notre corps tombe malade, c’est en général parce qu’il essaie d’attirer notre attention sur quelque chose, de nous aider à nous rediriger là où nous sommes censés aller. Quand on ne peut pas dormir, c’est notre âme qui nous invite à repenser notre mode de vie, etc.

Se faire accompagner
Si vous avez besoin de soutien pour apprendre à vous écouter, comprendre les messages de votre corps, et de votre âme, alors faites-vous accompagner s’il vous plait ! Demander de l’aide n’est pas un signe de faiblesse, bien au contraire, cela demande du courage. Le passage peut être difficile, mais l’après est merveilleux.
Je serais ravie de vous soutenir. Soit en séance individuelle, soit en groupe. Ce dimanche j’organise une journée réservée à 6 femmes sur ce thème. Il reste de la place. Les infos sont ici

Je vous souhaite un magnifique printemps !
Sylvie
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How to transition smoothly into Springtime

3/9/2020

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The weather has been very strange this year, with big changes in temperatures. There is no doubt that it takes its toll on the physical body, which needs to adjust, and on our capacity to deal with emotions, changes, fears, etc.

Connecting to the energy shift

In the Western world, Spring officially starts on March 20, but in Chinese medicine, it has already started. In Chinese medicine they actually have 5 seasons, and they rely on the “energetical” aspect of the elements, meaning for us exactly the same as for nature, the potential of blooming and opening up happens energetically weeks before materialising.

Springtime is therefore an important period of the year to pay attention to your health, take care of yourself in order to transition gently.

Resting and sleeping
Often when Spring arrives, we experience a change of mood. More sun means more time outside for a lot of people, a sense of renewal, new cycle, hope and joy. That is wonderful, of course. However, we might feel overtired and even though it can be surprising, it’s actually completely normal. For some reason it seems easier or maybe less taboo to accept to rest when we transition from Summer to Fall or from Fall to Winter, and yet we should also learn to rest when Spring arrives, and not put ourselves at higher risks of getting sick because we feel we “must” feel good now that the sun is out.

We tend to sleep more in winter as days are shorter; now that the days are becoming longer and longer, even though it’s a nice feeling, it’s important not to fall into the trap of thinking we need less sleep. We need to keep a good sleeping hygiene, meaning making sure to sleep well and sleep for long enough. Maybe even allow ourselves to go to bed a bit earlier than what we are used to, just by trusting our natural cycles without fighting too much.

When Springs arrives, we also want to go outside more, enjoy the sun, have a drink afterwork on a terrace, etc. That’s great, but as we are just coming back from winter, all our resources can be empty from “surviving” winter. Our immune system and Vitamin D levels might be quite low. We have slowed down a bit and we need to come back out of hibernation slowly and carefully, taking our time, just like Nature, again trusting our body and the signs.

Accepting, trusting your body, and learning to surrender rather than fight

So just like any difficult emotions, loss, changes, the key to transition smoothly is acceptance. Letting go of “should, must, have to” and listening to your physical sensations. I am not for any dogma or extreme and I also believe everyone is different. We all need to eat healthy and move our body for instance but what works for me, might not work for you. So I really want to encourage you to become your best friend, try things, think for yourself, feel what is right for you. Spring is a good time to check in on your liver though, and do a detox, again whichever one feels right to you.

Spring is when we are invited to go more outward, but again, it’s for you to find out what works, how much social time you want and need, in comparison to how much alone time you want.

Finally I’d like to invite you to watch your thoughts and the words you use. I often hear people saying life is a battle, or they need to control their emotions, tame their thoughts, etc. When we listen, stop, surrender, life flows. When we fight our true desires and needs, we deny our body and soul their potential to develop, grow and be happy. When the body gets sick, it’s often because it’s trying to show us a different path. When you can’t sleep, it means your soul is inviting you to rethink your way of life. Etc.

If you need support with all of this, please get some. Getting support is not a sign of weakness, it actually means you are brave, you want to change and I would be happy to help you with whatever you need.

Contact me to chat and check out my website. I have different options available for you, that we can tailored to your needs and your schedule.

I wish you a great Spring!

Sylvie

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Magie dans l'air, comment poser et concrétiser tes intentions

2/4/2020

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Portail du 02.20.2020 ou 20.02.2020
Le 33ème jour de l’année, avec 333 jours restant, c’était le 2 février, également une date palindrome qui se lit dans les deux sens. Un magnifique portail énergétique est en cours jusqu’au 20 février. Sois attentif aux signes, et reste flexibles sur les opportunités. Une bonne occasion aussi de revoir ses limites. Profites-en pour poser des intentions et ajuster ton cap si besoin.
 

​Poser une intention ça sert à quoi ?
J’aimerais à vérifier si tes actions et tes choix sont bien alignés avec tes buts régulièrement. Personnellement, je le fais chaque mois. Cela me permet de faire le bilan de mes prises de conscience, de voir ce qui fonctionne pour moi ce qui me prend de l’énergie, ce qui m’en donne, ce qui me met en joie, ce qui me frustre, etc. Je suis ainsi de plus en plus alignée avec mes désirs profonds. Profitons de ce portail de 18 jours pour renforcer ça.
 
Quelques étapes que je te recommande pour que ça fonctionne
-Simplicité : Une intention peut être quelque chose de très simple et générique comme par exemple : « prendre du temps pour moi »
-Une seule intention à la fois…
-Formule-la au présent et à la forme affirmative : par exemple « je prends du temps pour moi » « je pose mes limites clairement » « je m’exprime librement » « je m’aime » « j’éprouve de la joie »,etc. Evite les « je ne suis plus fatiguée », « je veux essayer de ne pas me faire avoir » etc.
-Vibre avec : répète plusieurs fois à voix haute, à la sentir vibrer en toi.  Respire avec, mets une main sur ton cœur et imagine cette intention dans toutes tes cellules, comme une réinformation de tes cellules
-Actions concrètes : décide clairement qu’est-ce que tu vas mettre en place concrètement pour soutenir ton intention : quand, comment et quoi ? Même 5 minutes par jour en silence, c’est prendre du temps pour soi. Mais peut-être que pour toi, cela veut dire aller à ton cours de danse, ou faire de la peinture, ou marcher en nature, etc. Très bien- Définis-le et mets cela dans ton agenda.
-Mets-toi aussi des rappels pour répéter : dans ton agenda pour des moments de respiration et de connexion à ton intention, des post-its sur le miroir de ta salle de bains, ton frigo, dans ta voiture, etc. C’est pour te permettre de renforcer la programmation à tous les niveaux. Sans répétition ça ne fonctionne pas
-Demande à l’Univers de t’aider, de te soutenir, de t’apporter ça, ou quelque chose d’encore mieux et lâche les attentes sur le comment et le quand, et sois attentive aux signes
 
-Bilan : A la fin de la semaine ou du mois, regarde où tu en es. Félicite-toi sur ce que tu as pu mettre en place, remercie-toi pour ce que tu as créé (tu es actrice de ta vie et c’est de la gratitude qui te redonne ton pouvoir) et regarde ce que tu pourrais encore améliorer. Un pas à la fois !
 
Si tu suis tes étapes, je te promets que tu auras des résultats. Patience, persévérance, observation, répétition et vibration, il faut tout combiner. Dis-nous en commentaire ton intention et tes actions. Comme ça on t’aide pour avancer !

Et si tu veux aller plus loin pour te connecter à ton âme, prendre confiance en ton intuition, découvrir et déployer ta puissance avec tes intentions et tes actions, rejoins-nous ici : https://www.laughingbutterfly.ch/puissance.html


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Besoin de changement et résistances…

9/18/2019

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Hier, une amie m’a envoyé un message sur les effets de cette dernière pleine Lune qui durent encore et qui nous mettrait face à une fin imminente, un besoin de changement que l’on ne peut plus ignorer.  Cela a totalement résonné en moi. Je suis aussi régulièrement des gens comme Lee Harris ou Alex Myles, qui font des prévisions énergétiques. Le premier parlait d’une phase de deuil, donc la perte de quelque chose ou quelqu’un ; la deuxième expliquait que nous sommes dans un portail énergétique du 9 au 18 septembre, avec ce chiffre magique et qu’on finit de nettoyer des choses au niveau des cycles : les 9 dernières semaines, mois, voire années.

Cela fait un moment que je sens dans mon coeur que mon lieu de vie n’est pas 100% adapté à moi, à qui je suis. Je sais que je dois quitter mon appartement. Cela fait un moment que je fais des compromis: colocation, vie à mi-temps à la montagne, grand nettoyage de printemps, etc. J’entends pourtant clairement cette voix qui me dit de m’en aller. Et pourtant je ne me sentais pas prête à passer le cap.
Il y a un mois, j’ai été appelée à nettoyer l’énergie du terrain sur lequel est bâti mon immeuble, un conflit d’une autre époque. J’ai entamé un nettoyage énergétique et fais partir je ne sais combien d’âmes errantes. A la fin, le message que j’ai reçu était : « c’est bon tu peux partir maintenant »
Et pourtant là encore je ne me sentais pas prête. J’ai fait toutes sortes de tests énergétiques et tirages de cartes, en espérant que la réponse serait différente. Hahaah mais non… la réponse était toujours la même: "tu dois partir"
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Tu connais peut-être ce sentiment de boule au ventre ? Quand tu sais que c’est juste mais que tu as trop peur de te lancer ? Ca nous arrive à tous, sur des choses différentes bien sûr. Et ça nous arrivera encore.
Depuis le début de l’année, j’entends très souvent ce message  quand je canalise:  « Fais confiance »- Maintenant ça me fait rire mais à certains moments c'était un peu frustrant, toujours ce même message, un peu comme la leçon de l’année, sur tous les niveaux, dans tous les domaines… Comment faire confiance ? En même temps je sais et j’ai expérimenté à plein de reprises que quand tu sautes le pas, l’Univers t’accompagne, te soutient et t’envoie des opportunités encore meilleures que ce que tu pouvais imaginer. C'est aussi ce que j'enseigne, mais...
Oui mais voilà, cette peur…. Le mental et la logique, les croyances liées au collectif qui reviennent à fond. Je te donne quelques exemples de ce qui m’est passé par la tête : « tu vas lâcher ton appart ? et après ? tu vas vivre où ? oh c’est compliqué tous les papiers à faire. Tu vas faire quoi avec tes meubles ? Tu peux pas partir sans savoir où tu vas ! ça coûte cher un déménagement. Tu as 40 ans et tu ne sais toujours pas où tu veux vivre ? Tu n’as plus 20 ans, tu vas faire quoi, vivre avec un sac à dos ? T'es folle? »
J’ai été dans cet état tout le week-end. J’ai médité, j’ai accueilli, j’ai répondu à mon saboteur intérieur avec bienveillance, mais lundi j’avais toujours aussi peur. Par contre j’ai enfin pu reconnaître que c’était très bloquant cette situation, notamment grâce à une conversation avec une amie, et aujourd’hui je choisis de faire confiance à mon âme, mon cœur, mon intuition et mon ressenti. Je ne sais pas ce qui va se passer. Mais je fais le pas. J’accepte de ne pas savoir et de faire confiance. Je sais que je ne serai pas à la rue mais cette décision n’a pas été facile ; et je sais aussi que cela peut paraître un tout petit pas mais c’est énorme, un vrai acte de foi. le saut dans le vide. Que se passera-t-il ensuite? Je ne sais pas. Je sens qu’il est juste et primordial pour moi de fermer cette porte pour qu’une autre puisse s’ouvrir. Du coup comme je dis toujours à mes clientes de se féliciter dans ces moments, je me félicite aussi :-)
 
Tout ça pour te dire que je suis humaine et que je comprends totalement que parfois tu n'arrives pas à décider, que tu sois bloquée, que tu aies peur. C'est normal. La question c'est comment surpasser ça?  Sens-tu ce qu’il est temps de lâcher ? A quoi as-tu envie de mettre fin ? Sauras-tu écouter ton ressenti ? 
 
Dis moi en commentaire 

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L’illusion du « je vais mieux » au printemps et en été

6/1/2019

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Et pourquoi c’est le moment idéal pour travailler sur toi 

Si toi aussi tu retrouves le sourire et de l’énergie quand les beaux jours arrivent, je te rassure c’est normal et c’est top ! Profites-en ! La vitamine D, le fait de voir des gens dehors, on devient plus spontanée, on sort plus, on se sent plus légère, on a peut être plus de contact avec la nature, on voit de belles choses, c’est chouette. 

Mais même si ce petit coup de boost est très agréable, je ne veux pas te saper le moral mais je t’invite à sortir de l’illusion. C’est un peu comme quand tu pars en vacances, tu déconnectes de ton quotidien, tu te reposes, tu t’amuses, mais quand tu reviens, tes croyances, tes soucis, tes questions existentielles, tes pensées noires sont à nouveau là. Et Ils reviendront tant que tu ne leur as pas fait face correctement, tant que tu n’auras pas mis en place une nouvelle manière de penser, de vivre et de fonctionner.

Avoir plus d’énergie c’est super car c’est le bon moment pour justement te confronter à tes plus grandes peurs, tes blocages, tes schémas limitants et répétitifs de comportement. Ce travail de transformation peut se faire dans la joie et la légèreté et être accompagné de la saveur du soleil pour récupérer plus vite et enchaîner les prises de consciences et les petits changements pour prendre de nouvelles habitudes de vie qui te correspondent mieux. Et oui car travailler sur soi demande du courage et de l’énergie. Donc autant en profiter quand tu en as !

C’est la période idéale pour te regarder, t’écouter, suivre ton cœur, prendre du temps pour toi.
Alors tu commences quand ?
Je profite de cette saison pour me transformer en réservant dès  maintenant ton appel diagnostic sur ce lien


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Why it is okay to go backwards and to make the same mistake again sometimes.

7/17/2018

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Sometimes it is okay to go backwards and make the same mistake.  It is okay because even though it is the same mistake you are not the same person and your take on it will be different.

As long as you are willing to learn and you take something from it  is okay to try again and again and to slip again and again.
Yes sometimes I also feel tired of trying and not getting where I want. Yes, sometimes I feel desperate.
I have done so much work on myself and still I am not quite where I want to be.
Yes sometimes I want to give up.

But then there is a bit of light and this voice that says: “You are okay. It is okay, you are getting closer. You are almost there. You are learning.  It is coming. And what you are going to get is so much better than whatever you can even imagine. We are just making sure you are ready to receive it all!”

So let me tell you what happened to me. Or rather what I let happen to me.
This year I have made it a priority to really love myself more, to be my own priority and to find real love.
Romantic relationships have always been a challenge for me. Sometimes I really think I am just not meant to be in one. But I deeply long for this complicity, partnership, intimacy.

In the past years, I have also come to understand that self-love is the basis for all emotional healing. I truly believe that accepting and loving ourselves, for real I the key to heal anything. And of course, it will be the key to find a great relationship too.

I have been working on myself for 12 years now, using all kind of tools, working on all levels of my being. And yes for sure I love and accept myself more now than when I was 18 or 27 or even more than 6 months ago.

But no I am not quite there yet. Let's be honest for a minute.  Who is? Maybe it takes a lifetime? I am still judging and criticizing myself. I am still not treating myself like I would treat my best friend.
Yet I do know  and I do feel that love is the answer.

I also know that I want real love in my life. From somebody else. But if I can't love myself fully how can somebody else?
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A few years back I became aware of this pattern I had to basically start dating any guy who likes me. Because I had such low-self esteem, being liked was WOW! And even if I didn't like a guy very much I would go out with him and pretend I did.  Just to be loved…
Except of course that didn't work. Because I I wasn’t me and I wasn’t authentic.

So I worked hard on this pattern. And finally I thought I was done with doing this, after experiencing different kinds of relationships. It got better. It was still hard for other reasons but that’s not my point here.
I really thought I was finally over this pattern of dating somebody I was not really into, of lying to myself.

Then a guy showed up into my life. He was nice and generous, easy-going, and funny. I was feeling lonely. I was feeling sad. I wanted affection. I wanted to be touched. I wanted somebody in my life. I was happy he was into me. I was flattered. And I went back into my old pattern. I screwed up big time. I tried to make him aware that we didn't know each other that we should not rush things. And of course he has his part to play in this failed experiment but that is his path and here I am talking about mine.

So yes I did the same thing again. I made this mistake again.
But guess what! The difference is this time I was totally aware I was doing it while I was doing it. I tried to do little things here and there to change directions as we were moving forward. But it was not enough.
Because once again I was not able to speak up, to speak clearly enough, to speak loud enough. Once again I was not able to be me.
What I was able to do though, was to stop everything quickly enough before there was too much damage.
 
Yes I am hurt. I am sad. I feel like shit. I am disappointed.
But I choose to see the difference between who I am now and who I was when I was not aware of this pattern.
I choose to see I am not the same person. I also choose to feel compassion for myself, to be kind, to see that I have done my best.
I choose to accept my mistake, to learn from it and to try again, with this new lesson inside me.
And I choose to keep hope and faith.

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