Les bains de foule, les gros repas, la surconsommation, les schémas familiaux, etc. Cette période peut se révéler très difficile pour une personne à la sensibilité exacerbée, comme moi. Donc voici mes astuces pour faire que cette période soit chouette, même dans le brouhaha général. ![]() 1. Utilise l’énergie environnante à ton avantage pour faire le tri. Oui je sais…moi non plus je ne comprends pas ce stress de fin d’année qui fait que, parce que quelqu’un a créé cette fameuse ligne de temps et un calendrier, on doit absolument tout finir avant les vacances, et voir tous les gens qu’on n’a pas pris le temps de voir cette année… Donc je t’invite plutôt à te poser avec un petit carnet et faire le point : qui sont les gens que j’aurais aimé voir plus cette année ? Et qui sont ceux que j’aurais pu voir moins ? Et au niveau de mes envies et de mes projets, ai-je bien géré mes priorités ? Comment pourrais-je faire différemment l’année prochaine pour ne pas me laisser déborder et choisir ce qui est juste pour moi ? Ai-je vraiment envie d’aller à tous ces cocktails de fin d’année? (école, associations, travail, amis, etc.) Lesquels me font vraiment envie ? Autorise-toi à dire non ! Je te rassure, il n’arrivera rien de grave si tu en manques un ou deux, tu risques même de ressortir gagnant-e ! Et oui car à ceux auxquels tu choisiras d’aller parce que tu en as envie, tu seras vraiment présent-e et en joie. Pour les autres, autant rester à la maison et prendre un bon bain chaud, non ? Et donc, demande-toi : comment pourrais-je mieux faire le tri en 2020 et ce, dès maintenant? ![]() 2. Prends du temps pour toi, pour de vrai ! Autorise-toi une vraie pratique de retrait complet seul-e : 1h, 1 matinée, 1 journée, 2 jours complets. Il vaut mieux bien se recharger et être agréable quand on est social-e que s’épuiser et piquer une crise de nerfs, non ? Massage, sortie en nature, temps méditatif, lecture, etc. Tu peux même faire une pause pendant la fête, qui t’en empêche ? Quelles sont les choses qui te ressourcent ? Fais-les, c’est vraiment important. Et tant pis si le repas de Noël n’est pas parfait et si tu n’as pas fini d’emballer les cadeaux, vraiment, je te jure, on s’en fout. Ah oui j’en profite au passage pour dire ceci : je sais qu’il y a de plus en plus de gens qui réfléchissent au sens des cadeaux mais bon on est quand même toujours dans un esprit de surconsommation, alors rappelle-toi 2 choses :
![]() 3. Sois une invitation à sortir des schémas de comportements traditionnels qui te barbent. Comme tu le sais certainement tu vois les gens d’une certaine manière et eux se voient différemment. Ça vaut pour toi aussi, tu n’as plus 10 ans, ni 20 mais c’est comme si l’image de toi était restée figée à une autre époque. Quel que soit ton rapport avec les membres de ta famille, je t’invite à te rappeler le vrai sens de Noël : l’amour, le partage, l’ouverture. Si tu l’approches dans cette posture, tu ne peux pas te planter. Et si tu te sens rabaissée, ou mal compris-e, ouvre-toi, pose des questions, parle. Et pour aller plus loin, pourquoi ne pas créer une nouvelle tradition ? Un jeu qui a du sens pour toi, qui permet de mieux connaître les personnes autour du repas, d’avoir de vraies discussions sur le sens de la vie, comme on aime bien, nous, les hypersensibles :-). Tu verras, tu seras surpris-e des réactions et de la nouvelle dynamique que tu peux créer. Je parle de la famille mais ça vaut pour un nouvel an entre potes aussi… Quand on s’ouvre, on permet aux autres de s’ouvrir… ![]() 4. Prends soin de ton corps et de tes émotions. Oui je sais ça paraît bateau comme conseil mais on l’oublie vite en cette période et en tant que supersensible, on doit prendre soin de notre superpouvoir pour rester dans la joie et la légèreté. Si tu te fatigues, tu vas vite sentir la tristesse, le stress et les frustrations s’exacerber. Alors je ne vais pas me lancer dans des conseils diététiques, on sait qu’on sera surement dans des excès, et c’est ok de temps en temps. On a un corps, c’est aussi pour en jouir, non ? Mais veille à avoir des pauses, des journées sans excès, et des nuits où tu peux récupérer et bien dormir. Veille aussi à bouger ton corps : danse, chante, marche, cours, fais ce qu’il te plait. Il y a milles options, toi seul-e sais ce qui te fait le plus de bien et le plus de bien à ton corps et à tes émotions. Ressource-toi et expire aussi les énergies difficiles et négatives. Evite de faire l’éponge…N’hésite pas à faire des nettoyages énergétiques, seul ou avec un thérapeute pour te débarrasser de ce que tu absorbes du collectif et des gens que tu vas voir. On sait qu’en tant que supersensible on prend souvent sans le vouloir les énergies environnantes ; donc visualisation et protocole le matin pour se protéger et le soir pour se nettoyer. Là encore plein d’options : une visualisation, une danse, un mantra, à toi de jouer! ![]() 5. Tu peux toujours t’enfuir ! Utilise ton instinct de survie ! Je rigole à moitié mais je suis sûre que tu y as pensé et peut-être même que tu l’as déjà fait. Personnellement il m’est souvent arrivée de partir loin pour Noël ; mais non ce n’était pas seulement pour éviter la frénésie de fin d’année et les repas de famille. D’abord j’aime voyager, et franchement 1 mois en sac à dos en Équateur ou au Costa Rica, ou une belle retraite de yoga en Thaïlande, ça le fait, non ? Le Père-Noël s'offre bien son voyage de l'année, alors pourquoi pas toi? Un gros cadeau pour soi, pour commencer l’année rechargé-e au lieu d’épuisé-e.Au-delà de ça, je suis assez peu branchée sur les obligations. Pour moi Noël c’est une bonne excuse pour voir des gens qu’on aime et qu’on n’a pas trop l’occasion de voir le reste de l’année, mais au final, si on est vraiment honnête, les gens que tu aimes, tu les fréquentes, avec ou sans Noël. Donc si je décide de ne pas passer Noël en famille, ce n’est pas parce que je n’aime pas ma famille, mais plutôt parce que je peux les voir à d'autres moments. 💫Si tu penses être hypersensible mais tu n’es pas sure, envoie-moi un email et je t’envoie un lien pour passer un petit test.
💫Si tu sens le besoin de soutien en cette période, offre-toi une séance avec moi : soin énergétique et relaxation guidée, à distance, à Genève ou à St-Cergue. Appelle-moi pour prendre rendez-vous : 00 41 79 128 32 62 Et si tu n’as pas fini tes cadeaux, je propose aussi des bons cadeaux sur demande :-)
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Bonjour,
Aujourd'hui j'aimerais te parler de cette phrase "J'ai pas le temps." As-tu l’impression de courir tout le temps? Penses-tu souvent quand on te propose quelque chose de nouveau « j’ai pas le temps » A quelle fréquence dis-tu ou penses-tu cette phrase? Arrives-tu à observer cela? Est-ce que c’est quelque chose que tu aimerais changer? Si oui probablement maintenant tu dois te dire que ça ne sera pas possible car tu as plein de responsabilités et plein de choses à faire. En fait on a toutes le même nombre d'heures dans une journée, la question à te poser c'est quelles sont tes priorités? L’épuisement, le stress, le manque d’enthousiasme, la perte de sens, nous invitent pourtant à remettre en question l’usage que l’on fait de notre temps et surtout de combien de temps on prend pour soi, pour faire quelque chose qui nous re-connecte à nous-mêmes. Si tu veux implanter un changement, retrouver ton intuition, la joie, tu dois changer tes habitudes, et pour ça, tu dois commencer par créer le temps et l’espace pour le faire. Si tu es encore en train de lire, ça veut dire que j’ai ton attention. Et je t’invite à prendre tes responsabilités en testant les astuces ci-dessous. Voici quelques suggestions pour enclencher un changement: 1) A chaque fois que tu t’entends dire, « j’ai pas le temps », change cette phrase en « je ne prends pas le temps » Et oui car cela remet les choses à leur place, c’est ton choix, tu es créatrice de ta vie et plus une victime (si si, essaies, tu vas voir) 2) Maintenant prends ton agenda et la liste des choses que « tu dois faire » sur les 3 prochaines semaines. a) Regarde ce que tu as planifié qui n’est pas très important et que tu peux facilement laisser tomber et annule tout ça b) Regarde ensuite ce que tu as planifié qui n’est pas super important mais que tu as du mal à annuler ou laisser tomber. Pose alors simplement l’intention que cela change, que tu puisses laisser aller tout ça. Demande-toi « quoi d’autre est possible » et autorise l’Univers à trouver des solutions auxquelles tu n’as même pas pensé (car tu t’es limitée et tu as oublié ton pouvoir) 3) Maintenant planifie des plages de 10, 20, 30 minutes, et des plages de 1h dans ton agenda. Appelle-les comme ça te chante, quelque chose qui te correspond « temps pour moi » « je suis ma priorité » « je prends soin de moi », « je me connecte à mon intuition », « je m’honore », etc Et promets-toi d’honorer ces moments. Si tu veux revenir au centre de ta vie, c’est à toi de le faire, personne ne le fera à ta place. Choisis une ou plusieurs pratiques (par exemple des exercices de ma checklist, des mes vidéos ou autres), une activité qui te fait plaisir, et mets-les en place. Si tu n’es pas capable de faire ça, cela signifie que tu es devenue esclave du temps et des autres. Probablement tu as alternes entre des moments de hautes énergies et des moments d’épuisement total. Tu es en train de passer à côté de ta vie... Vote pour toi! Choisis toi! Maintenant! C’est TA vie Sans engagement de toi envers toi, il n’y aura pas de transformation. Si tu sens que tu as besoin d’aide pour sauter le pas, savoir ce qui te fait plaisir, te re-booste, de quoi tu as besoin, et surtout comment t’autoriser à créer ce temps sans culpabilité, alors commence par prendre le temps de fixer un rendez-vous avec moi pour faire le point sur ta situation et tes challenges actuels. ➡️ Clique ici pour transformer ta vie AUJOURD'HUI Lentement, Sylvie Aujourd’hui j’ai envie de te parler de burn-out car je rencontre de plus en plus de personnes qui en traversent un ou le frôlent mais ne s’en rendent pas compte ou ne savent pas comment le transformer en quelque chose de positif.
J’ai fait mon premier burn-out il y a 12 ans. A l’époque c’était encore un peu tabou comme terme. Aujourd’hui, on dirait que c’est quasi normal et que passer par là fait partie de la vie… Pourtant c’est loin d’être une obligation et surtout on peut l’éviter en prenant soin de soi; et si on en vit un, on peut vraiment l’utiliser comme tremplin pour mettre en place des changements. Ce n'est pas une fatalité Alors je te raconte le mien et si ça résonne, je t'invite à me contacter! En 2007 donc, j’avais pris un poste qu’on avait créé pour moi, à ma demande, car je m’ennuyais dans mes tâches (typique de mon caractère multipotentiel qui a besoin d'être stimulé en permanence) Ce qui venait de l’environnement : je me suis petit à petit enfoncée dans un univers ultra toxique. Le directeur de l’entreprise n’avait pas expliqué aux autres personnes pourquoi il avait créé ce poste pour moi, et quels étaient les objectifs. Les tâches n’étaient pas clairement réparties, certaines personnes se sont senties menacées et ont pensé qu’elles allaient se faire licencier, et que j’allais prendre leur place. Une personne en particulier a commencé à faire de la rétention d’information pour se protéger et en même temps me mettre dans l’embarras. Elle a fait semblant d’avoir compris que j’étais sa nouvelle « assistante » alors qu’elle n’était pas ma supérieure hiérarchique. Cela a rapidement dégénéré en mobbing. Ce qui venait de moi : je ne me connaissais pas très bien et je me suis rendu compte trop tard que ce poste était en fait en désaccord avec mes valeurs profondes. J’étais donc torturée entre bien faire mon job et rester en harmonie avec mon sens de la justice (aussi très typique de la multipotentialité). Je ne savais pas dire non et mettre mes limites correctement et donc je me suis fait manger toute crue :-) J’étais perfectionniste et donc jamais satisfaite de mon travail, même quand il y avait des succès. Je voyais les détails qui tuent que personne d’autre ne voyait ou ne voulait voir, car ils préféraient continuer à dysfonctionner et faire semblant. Pour moi c’était impossible car je détestais le mensonge. Peu à peu j’ai perdu le peu de confiance en moi que j’avais. Je me suis épuisée en prétendant, parce que je suis idéaliste, que j’allais pouvoir changer et pouvoir faire changer les autres, en continuant de voir le meilleur en eux, même quand ils me maltraitaient. J’étais tout le temps sur la défensive. Au cœur du burn-out : J’ai continué, continué et continué… malgré la boule au ventre, le mal de dos…. Jusqu’à ce que je sois diagnostiquée avec un côlon irritable. J'ai perdu 15 kilos. Oh mais cela ne m’a pas arrêtée… J’ai encore poussé, surmonté les crises d’angoisse pour venir travailler. Je m’étais jurée que rien ne m’arrêterait. Il était hors de question que je perde la bataille. J’étais une femme forte, qui devait prouver que je pouvais tout faire. Et en plus ce poste c’est moi qui l’avais demandé ! Je ne pouvais pas abandonner ! Je me sentais différente, seule, incomprise mais j’étais dans le déni total de ce qui se jouait. J’ai continué à travaillé car j’adore les challenges ! Je dormais de moins en moins, j’étais tout le temps en train de ruminer sur les actions passées, le mental en surchauffe. Cela a eu un impact terrible sur ma relation amoureuse de l’époque, et mon cercle d’amis, tout mon entourage en fait. Je suis devenue peu à peu l’ombre de moi-même. La fille joyeuse que j’étais avait disparu…pour laisser place à un zombie. Et puis un jour…je n’ai pas pu sortir du lit. J’étais incapable de bouger, tétanisée. Ce jour-là je n’ai même pas pu prendre le téléphone pour prévenir que je ne viendrais pas travailler. Quelques jours plus tard, j’ai enfin accepté de me mettre en arrêt maladie. Je n’y suis jamais retournée. Complètement traumatisée et pétrifiée, à chaque fois qu’on me parlait de reprendre mon poste, mon corps revivait tous les symptômes d’avant mon arrêt. Comment je m’en suis sortie J’ai failli y laisser ma peau… Mais j'ai aussi enfin pu commencé à vraiment travailler sur moi. A ce stade il était clair que cela n’aurait servi à rien de blâmer l’employeur et de chercher à négocier des solutions. Je n’en avais pas la force. Et surtout, j’avais besoin d’apprendre qui j’étais, comment je fonctionnais et ce que je voulais. Le chemin fut long. Je suis aujourd'hui convaincue que plus on reste longtemps dans ce genre de situation, plus on a besoin de temps pour récupérer. Et j’y étais restée un an… Aujourd’hui, 12 ans plus tard, je sais que je suis hypersensible et multipotentielle et surtout je sais comment utiliser ces caractéristiques à mon avantage. C’est ce que j’ai découvert au fil des exercices et pratiques que j’ai mis en place, et du soutien que j’ai trouvé auprès de divers mentors et guides. Je m’en suis sortie à l’aide d’une multitude de techniques psycho-corporelles-énergétiques. La psychothérapie et les médicaments ont été une béquille nécessaire pendant un temps, mais ce n’est pas ce qui m’a permis de surmonter ça et de devenir qui je suis. Ce qui m’a été le plus utile c’est ma curiosité, mon envie d’apprendre et mon plein investissement - typique de la des personnalités multipotentielles. J’ai appris et pratiqué toutes sortes de méditations, fait plus de yoga, découvert divers types de danses thérapeutiques, appris le Reiki, l’EFT et d’autres techniques de soins énergétiques ; je me suis formée en coaching et PNL. Et je continue d’apprendre. Chaque année je fais des formations dans le domaine de la santé et du développement personnel. J’ai transformé mon hypersensibilité en force. J’ai appris à me reposer, à dire non, à m’aimer, à m’accepter, à écouter mon corps, à suivre mes besoins et mes désirs, à realiser mes rêves. J’ai fait un autre début de burn-out il y a 2 ans et demi. Et oui, car je suis humaine et les personnalités hypersensibles et multipotentielles sont malheureusement plus sujettes aux burn-out. Heureusement j’avais les bons outils et je me connaissais suffisamment pour ne pas me laisser submerger et m’arrêter à temps, ne pas retomber dans le gouffre, savoir reconnaître ce qui venait de moi et ce qui venait de l’environnement ; et j’ai pu m’en remettre très rapidement. En fait grâce à mon burn-out aujourd’hui je peux oser être moi, vivre une vie épanouissante, avancer sur mon chemin et incarner ma mission de vie. Aujourd’hui je souhaite te transmettre mon expérience et mes outils Une de mes passions est de partager tout ce que je vis et ce que j'apprends, et c’est ce que je fais depuis toujours. Ma pratique ne cesse d’évoluer et aujourd’hui je me suis vraiment spécialisée pour travailler avec des femmes entre 30 et 50 ans, qui ont vécu ou frôlé le burn-out, de préférence multipotentielles, et qui souhaitent se libérer de leur masque de superwoman (qui leur dit qu'elles doivent tout faire parfaitement (au travail, à la maison, en couple, avec leurs amis) et retrouver confiance en leur intuition pour pouvoir incarner qui elles sont réellement. Pour cela j’utilise la méthode Laughing Butterfly, que j’ai créée au fil des ans et affinée grâce aux contacts avec mes clientes. J’ai effectué plus de 3000 heures d’accompagnement collectif et individuel. Je suis aujourd’hui experte dans mon domaine. Je te fais profiter de tout ce que j'ai appris pendant ces années pour que tu puisses l'implanter rapidement. Parmi les résultats concrets, mes clientes ont notamment : -retrouvé leur connexion à leur corps et donc leur santé -trouvé un conjoint après des années de célibat -changé de travail et trouver un emploi en lien avec leurs valeurs -démarrer un projet entrepreneurial Il n’y a rien que me met plus en joie que de voir mes clientes se transformer et s’épanouir. Et je suis vraiment convaincue que plus il y a de gens qui sont alignés avec qui ils sont vraiment, plus leur bonheur se propage et fait des vagues; et c’est ainsi qu’on transforme le monde ! Si tu es intéressée et te reconnais dans le profil que je viens de décrire, prends rendez-vous pour une séance gratuite de 45 minutes avec quelqu'un de mon équipe pour faire le point et voir si tu fais partie des personnes qui auront le privilège de participer à mon programme d'accompagnement. |
AuthorSylvie Meynier Categories
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