Avez-vous déjà eu ce sentiment magique que tout roule, tout s’aligne, et que tout va dans la bonne direction? Vous rencontrez les bonnes personnes, vous êtes au bon endroit au bon moment, vous avez plein d’énergie, vous souriez, etc.
Ce qui se passe c’est que vous vibrez à une haute fréquence d’énergie, vous avez un taux vibratoire élevé et par conséquent vous continuez à attirer les bonnes personnes, les bons projets et les bonnes situations. Peut-être qu’au contraire, vous avez l’impression que rien ne va, que tout s’écroule, que les problèmes s’accumulent, et que vous êtes perdu(e). Vous êtes souvent fatigué(e), vous dormez mal, vous avez l’impression de ne pas être à votre place ; peut-être que vous vous sentez bloqué(e) ou frustré(e). En fait, vous vibrez à une fréquence énergétique basse, votre taux vibratoire est au ras des pâquerettes et par conséquent vous continuez à attirer les problèmes, les situations et les personnes toxiques. Nous passons tous par ces deux moments, c’est normal, c’est la vie ! Elle est faite de hauts et de bas, de moments où tout est fluide et simple, et de moments où tout semble coincé et compliqué. La question est donc comment sortir de ces situations où l’on se sent bloqué, pour se retrouver à nouveau dans la fluidité appelée aussi le flow? Il n’y a pas de miracle mais on peut s’orienter dans la bonne direction pour parvenir à remonter notre fréquence vibratoire. Mais c’est quoi la fréquence vibratoire ?En tant qu’être vivant, nous sommes constitués d’énergie. La matière n’est en fait qu’une forte concentration d’énergie. Notre corps physique est donc énergie et il vibre en général assez bas. Autour nous avons différentes couches de corps énergétiques qui vibrent plus haut. Qu’est-ce qui fait que notre fréquence vibratoire descend ? Et bien vous le savez surement déjà :
Comment remonter votre fréquence vibratoireNon, non, non, pas besoin de devenir végétalien ni de faire 5 heures de sports par semaine ! (sauf si vous le voulez vraiment bien sûr !) Je suis partisane de la joie et du plaisir. Bien sûr le choix d’une vie équilibrée et de prendre bien soin de soi va aider, mais pas si vous le vivez comme une obligation ! Vous serez encore plus frustré(e) et cela ne servira à rien. Foutez-vous un peu la paix comme dirait Fabrice Midal ! Repérez vos passions! Et faites-les ! Une étude a démontré qu’en vivant ses passions 3 ou 4 heures par semaine nous changeons notre fréquence et donc notre vie ! 3 – 4 heures, c’est tout ! Combien d’heures passez-vous sur les réseaux sociaux ou devant la télé ? Il y a une différence entre le plaisir immédiat et le bien-être sur la durée. C’est la prise de conscience qui va faire la différence. Ce qui est intéressant, c’est de noter quand vous mangez quelque chose de délicieux mais qui n’est pas bon pour la santé, si vous le faites par plaisir de la dégustation ou pour combler un vide (un manque d’amour par exemple). De la même manière quand vous fumez, est-ce que c’est par plaisir ou par habitude ? Parce que vous en avez envie ou parce que ça vous déstresse et vous permet d’éviter vos émotions ? Et pour l’alcool ? J’apprécie un bon verre de vin de temps en temps, une coupe de champagne pour célébrer quelque chose. La question là encore est : est-ce que vous buvez pour vous détendre et noyer votre stress, ou est-ce que vous buvez par plaisir ? Et c’est la même chose pour le sport. Choisissez un sport que vous aimez, qui vous amuse. Si vous faites du footing parce qu’on vous a dit que c’était bon pour la tête mais que vous n’y prenez aucun plaisir, votre fréquence vibratoire ne va pas beaucoup augmenter. Concernant la nature, si vous avez toujours vécu en ville, peut-être que vous n’avez pas conscience à quel point l’air est pollué et le béton nous plombe, littéralement. Trouvez quelque chose qui vous rapproche de la terre et vous permet de vous oxygéner, que ce soit le jardinage, une randonnée à pied, un tour à vélo ou même juste de prendre un pique-nique dans l’herbe ou à la plage. Essayez un parc, une terrasse au soleil loin du trafic si vous n’aimez pas le lac et la montagne. Et encore une fois, faites ce qui VOUS fait du bien. Il y a tellement d’options. Ecoutez de la musique qui vous enivre ou vous relaxe selon vos besoins. Choisissez en conscience. Si vous êtes triste et que vous écoutez de la musique triste, attendez-vous à être encore plus triste. Mais peut-être que c’est ce dont vous avez besoin à ce moment là pour accepter et digérer cette tristesse avant d’avancer. Il y a aussi des musiques spéciales à des fréquences hautes (par exemple la musique qui vibre à la fréquence de l’amour). Pourquoi la musique est-elle autant influente? Les sons sont des vibrations et donc des ondes. L’eau est le meilleur vecteur des ondes. Et nous sommes composés à 70-80% d’eau! La musique va donc directement informer vos cellules. Comment gérer votre stress et bien vivre vos émotionsIl y a plein d’outils disponibles. Du yoga au développement personnel, l’important encore une fois est de se faire plaisir et donc de se connaître. Qu’est-ce qui vous fait du bien? Que se passe-t-il avec vous ? Comment vous sentez-vous ? Quelle émotion provoque telle ou telle situation ? Où se trouve cette émotion dans votre corps ? Et si vous vous sentez vraiment coincé, que vous ruminez des pensées négatives, faites-vous accompagner. Je pense qu’il est primordial de travailler à plusieurs niveaux ; les soins énergétiques sont un bon exemple de cela : conscient, inconscient, corps physique et subtils, on touche à tout l’être et la remontée de la fréquence vibratoire est garantie ! Envie d''être accompagné pour retrouver le flow? Réserve ta séance ici
0 Comments
Les bains de foule, les gros repas, la surconsommation, les schémas familiaux, etc. Cette période peut se révéler très difficile pour une personne à la sensibilité exacerbée, comme moi. Donc voici mes astuces pour faire que cette période soit chouette, même dans le brouhaha général. ![]() 1. Utilise l’énergie environnante à ton avantage pour faire le tri. Oui je sais…moi non plus je ne comprends pas ce stress de fin d’année qui fait que, parce que quelqu’un a créé cette fameuse ligne de temps et un calendrier, on doit absolument tout finir avant les vacances, et voir tous les gens qu’on n’a pas pris le temps de voir cette année… Donc je t’invite plutôt à te poser avec un petit carnet et faire le point : qui sont les gens que j’aurais aimé voir plus cette année ? Et qui sont ceux que j’aurais pu voir moins ? Et au niveau de mes envies et de mes projets, ai-je bien géré mes priorités ? Comment pourrais-je faire différemment l’année prochaine pour ne pas me laisser déborder et choisir ce qui est juste pour moi ? Ai-je vraiment envie d’aller à tous ces cocktails de fin d’année? (école, associations, travail, amis, etc.) Lesquels me font vraiment envie ? Autorise-toi à dire non ! Je te rassure, il n’arrivera rien de grave si tu en manques un ou deux, tu risques même de ressortir gagnant-e ! Et oui car à ceux auxquels tu choisiras d’aller parce que tu en as envie, tu seras vraiment présent-e et en joie. Pour les autres, autant rester à la maison et prendre un bon bain chaud, non ? Et donc, demande-toi : comment pourrais-je mieux faire le tri en 2020 et ce, dès maintenant? ![]() 2. Prends du temps pour toi, pour de vrai ! Autorise-toi une vraie pratique de retrait complet seul-e : 1h, 1 matinée, 1 journée, 2 jours complets. Il vaut mieux bien se recharger et être agréable quand on est social-e que s’épuiser et piquer une crise de nerfs, non ? Massage, sortie en nature, temps méditatif, lecture, etc. Tu peux même faire une pause pendant la fête, qui t’en empêche ? Quelles sont les choses qui te ressourcent ? Fais-les, c’est vraiment important. Et tant pis si le repas de Noël n’est pas parfait et si tu n’as pas fini d’emballer les cadeaux, vraiment, je te jure, on s’en fout. Ah oui j’en profite au passage pour dire ceci : je sais qu’il y a de plus en plus de gens qui réfléchissent au sens des cadeaux mais bon on est quand même toujours dans un esprit de surconsommation, alors rappelle-toi 2 choses :
![]() 3. Sois une invitation à sortir des schémas de comportements traditionnels qui te barbent. Comme tu le sais certainement tu vois les gens d’une certaine manière et eux se voient différemment. Ça vaut pour toi aussi, tu n’as plus 10 ans, ni 20 mais c’est comme si l’image de toi était restée figée à une autre époque. Quel que soit ton rapport avec les membres de ta famille, je t’invite à te rappeler le vrai sens de Noël : l’amour, le partage, l’ouverture. Si tu l’approches dans cette posture, tu ne peux pas te planter. Et si tu te sens rabaissée, ou mal compris-e, ouvre-toi, pose des questions, parle. Et pour aller plus loin, pourquoi ne pas créer une nouvelle tradition ? Un jeu qui a du sens pour toi, qui permet de mieux connaître les personnes autour du repas, d’avoir de vraies discussions sur le sens de la vie, comme on aime bien, nous, les hypersensibles :-). Tu verras, tu seras surpris-e des réactions et de la nouvelle dynamique que tu peux créer. Je parle de la famille mais ça vaut pour un nouvel an entre potes aussi… Quand on s’ouvre, on permet aux autres de s’ouvrir… ![]() 4. Prends soin de ton corps et de tes émotions. Oui je sais ça paraît bateau comme conseil mais on l’oublie vite en cette période et en tant que supersensible, on doit prendre soin de notre superpouvoir pour rester dans la joie et la légèreté. Si tu te fatigues, tu vas vite sentir la tristesse, le stress et les frustrations s’exacerber. Alors je ne vais pas me lancer dans des conseils diététiques, on sait qu’on sera surement dans des excès, et c’est ok de temps en temps. On a un corps, c’est aussi pour en jouir, non ? Mais veille à avoir des pauses, des journées sans excès, et des nuits où tu peux récupérer et bien dormir. Veille aussi à bouger ton corps : danse, chante, marche, cours, fais ce qu’il te plait. Il y a milles options, toi seul-e sais ce qui te fait le plus de bien et le plus de bien à ton corps et à tes émotions. Ressource-toi et expire aussi les énergies difficiles et négatives. Evite de faire l’éponge…N’hésite pas à faire des nettoyages énergétiques, seul ou avec un thérapeute pour te débarrasser de ce que tu absorbes du collectif et des gens que tu vas voir. On sait qu’en tant que supersensible on prend souvent sans le vouloir les énergies environnantes ; donc visualisation et protocole le matin pour se protéger et le soir pour se nettoyer. Là encore plein d’options : une visualisation, une danse, un mantra, à toi de jouer! ![]() 5. Tu peux toujours t’enfuir ! Utilise ton instinct de survie ! Je rigole à moitié mais je suis sûre que tu y as pensé et peut-être même que tu l’as déjà fait. Personnellement il m’est souvent arrivée de partir loin pour Noël ; mais non ce n’était pas seulement pour éviter la frénésie de fin d’année et les repas de famille. D’abord j’aime voyager, et franchement 1 mois en sac à dos en Équateur ou au Costa Rica, ou une belle retraite de yoga en Thaïlande, ça le fait, non ? Le Père-Noël s'offre bien son voyage de l'année, alors pourquoi pas toi? Un gros cadeau pour soi, pour commencer l’année rechargé-e au lieu d’épuisé-e.Au-delà de ça, je suis assez peu branchée sur les obligations. Pour moi Noël c’est une bonne excuse pour voir des gens qu’on aime et qu’on n’a pas trop l’occasion de voir le reste de l’année, mais au final, si on est vraiment honnête, les gens que tu aimes, tu les fréquentes, avec ou sans Noël. Donc si je décide de ne pas passer Noël en famille, ce n’est pas parce que je n’aime pas ma famille, mais plutôt parce que je peux les voir à d'autres moments. 💫Si tu penses être hypersensible mais tu n’es pas sure, envoie-moi un email et je t’envoie un lien pour passer un petit test.
💫Si tu sens le besoin de soutien en cette période, offre-toi une séance avec moi : soin énergétique et relaxation guidée, à distance, à Genève ou à St-Cergue. Appelle-moi pour prendre rendez-vous : 00 41 79 128 32 62 Et si tu n’as pas fini tes cadeaux, je propose aussi des bons cadeaux sur demande :-) Hier, une amie m’a envoyé un message sur les effets de cette dernière pleine Lune qui durent encore et qui nous mettrait face à une fin imminente, un besoin de changement que l’on ne peut plus ignorer. Cela a totalement résonné en moi. Je suis aussi régulièrement des gens comme Lee Harris ou Alex Myles, qui font des prévisions énergétiques. Le premier parlait d’une phase de deuil, donc la perte de quelque chose ou quelqu’un ; la deuxième expliquait que nous sommes dans un portail énergétique du 9 au 18 septembre, avec ce chiffre magique et qu’on finit de nettoyer des choses au niveau des cycles : les 9 dernières semaines, mois, voire années. Cela fait un moment que je sens dans mon coeur que mon lieu de vie n’est pas 100% adapté à moi, à qui je suis. Je sais que je dois quitter mon appartement. Cela fait un moment que je fais des compromis: colocation, vie à mi-temps à la montagne, grand nettoyage de printemps, etc. J’entends pourtant clairement cette voix qui me dit de m’en aller. Et pourtant je ne me sentais pas prête à passer le cap. Il y a un mois, j’ai été appelée à nettoyer l’énergie du terrain sur lequel est bâti mon immeuble, un conflit d’une autre époque. J’ai entamé un nettoyage énergétique et fais partir je ne sais combien d’âmes errantes. A la fin, le message que j’ai reçu était : « c’est bon tu peux partir maintenant » Et pourtant là encore je ne me sentais pas prête. J’ai fait toutes sortes de tests énergétiques et tirages de cartes, en espérant que la réponse serait différente. Hahaah mais non… la réponse était toujours la même: "tu dois partir" Tu connais peut-être ce sentiment de boule au ventre ? Quand tu sais que c’est juste mais que tu as trop peur de te lancer ? Ca nous arrive à tous, sur des choses différentes bien sûr. Et ça nous arrivera encore.
Depuis le début de l’année, j’entends très souvent ce message quand je canalise: « Fais confiance »- Maintenant ça me fait rire mais à certains moments c'était un peu frustrant, toujours ce même message, un peu comme la leçon de l’année, sur tous les niveaux, dans tous les domaines… Comment faire confiance ? En même temps je sais et j’ai expérimenté à plein de reprises que quand tu sautes le pas, l’Univers t’accompagne, te soutient et t’envoie des opportunités encore meilleures que ce que tu pouvais imaginer. C'est aussi ce que j'enseigne, mais... Oui mais voilà, cette peur…. Le mental et la logique, les croyances liées au collectif qui reviennent à fond. Je te donne quelques exemples de ce qui m’est passé par la tête : « tu vas lâcher ton appart ? et après ? tu vas vivre où ? oh c’est compliqué tous les papiers à faire. Tu vas faire quoi avec tes meubles ? Tu peux pas partir sans savoir où tu vas ! ça coûte cher un déménagement. Tu as 40 ans et tu ne sais toujours pas où tu veux vivre ? Tu n’as plus 20 ans, tu vas faire quoi, vivre avec un sac à dos ? T'es folle? » J’ai été dans cet état tout le week-end. J’ai médité, j’ai accueilli, j’ai répondu à mon saboteur intérieur avec bienveillance, mais lundi j’avais toujours aussi peur. Par contre j’ai enfin pu reconnaître que c’était très bloquant cette situation, notamment grâce à une conversation avec une amie, et aujourd’hui je choisis de faire confiance à mon âme, mon cœur, mon intuition et mon ressenti. Je ne sais pas ce qui va se passer. Mais je fais le pas. J’accepte de ne pas savoir et de faire confiance. Je sais que je ne serai pas à la rue mais cette décision n’a pas été facile ; et je sais aussi que cela peut paraître un tout petit pas mais c’est énorme, un vrai acte de foi. le saut dans le vide. Que se passera-t-il ensuite? Je ne sais pas. Je sens qu’il est juste et primordial pour moi de fermer cette porte pour qu’une autre puisse s’ouvrir. Du coup comme je dis toujours à mes clientes de se féliciter dans ces moments, je me félicite aussi :-) Tout ça pour te dire que je suis humaine et que je comprends totalement que parfois tu n'arrives pas à décider, que tu sois bloquée, que tu aies peur. C'est normal. La question c'est comment surpasser ça? Sens-tu ce qu’il est temps de lâcher ? A quoi as-tu envie de mettre fin ? Sauras-tu écouter ton ressenti ? Dis moi en commentaire Et si tu as besoin d'un coup de pouce, rejoins mon espace membre ou prends rendez-vous pour une séance découverte! Bonjour,
Aujourd'hui j'aimerais te parler de cette phrase "J'ai pas le temps." As-tu l’impression de courir tout le temps? Penses-tu souvent quand on te propose quelque chose de nouveau « j’ai pas le temps » A quelle fréquence dis-tu ou penses-tu cette phrase? Arrives-tu à observer cela? Est-ce que c’est quelque chose que tu aimerais changer? Si oui probablement maintenant tu dois te dire que ça ne sera pas possible car tu as plein de responsabilités et plein de choses à faire. En fait on a toutes le même nombre d'heures dans une journée, la question à te poser c'est quelles sont tes priorités? L’épuisement, le stress, le manque d’enthousiasme, la perte de sens, nous invitent pourtant à remettre en question l’usage que l’on fait de notre temps et surtout de combien de temps on prend pour soi, pour faire quelque chose qui nous re-connecte à nous-mêmes. Si tu veux implanter un changement, retrouver ton intuition, la joie, tu dois changer tes habitudes, et pour ça, tu dois commencer par créer le temps et l’espace pour le faire. Si tu es encore en train de lire, ça veut dire que j’ai ton attention. Et je t’invite à prendre tes responsabilités en testant les astuces ci-dessous. Voici quelques suggestions pour enclencher un changement: 1) A chaque fois que tu t’entends dire, « j’ai pas le temps », change cette phrase en « je ne prends pas le temps » Et oui car cela remet les choses à leur place, c’est ton choix, tu es créatrice de ta vie et plus une victime (si si, essaies, tu vas voir) 2) Maintenant prends ton agenda et la liste des choses que « tu dois faire » sur les 3 prochaines semaines. a) Regarde ce que tu as planifié qui n’est pas très important et que tu peux facilement laisser tomber et annule tout ça b) Regarde ensuite ce que tu as planifié qui n’est pas super important mais que tu as du mal à annuler ou laisser tomber. Pose alors simplement l’intention que cela change, que tu puisses laisser aller tout ça. Demande-toi « quoi d’autre est possible » et autorise l’Univers à trouver des solutions auxquelles tu n’as même pas pensé (car tu t’es limitée et tu as oublié ton pouvoir) 3) Maintenant planifie des plages de 10, 20, 30 minutes, et des plages de 1h dans ton agenda. Appelle-les comme ça te chante, quelque chose qui te correspond « temps pour moi » « je suis ma priorité » « je prends soin de moi », « je me connecte à mon intuition », « je m’honore », etc Et promets-toi d’honorer ces moments. Si tu veux revenir au centre de ta vie, c’est à toi de le faire, personne ne le fera à ta place. Choisis une ou plusieurs pratiques (par exemple des exercices de ma checklist, des mes vidéos ou autres), une activité qui te fait plaisir, et mets-les en place. Si tu n’es pas capable de faire ça, cela signifie que tu es devenue esclave du temps et des autres. Probablement tu as alternes entre des moments de hautes énergies et des moments d’épuisement total. Tu es en train de passer à côté de ta vie... Vote pour toi! Choisis toi! Maintenant! C’est TA vie Sans engagement de toi envers toi, il n’y aura pas de transformation. Si tu sens que tu as besoin d’aide pour sauter le pas, savoir ce qui te fait plaisir, te re-booste, de quoi tu as besoin, et surtout comment t’autoriser à créer ce temps sans culpabilité, alors commence par prendre le temps de fixer un rendez-vous avec moi pour faire le point sur ta situation et tes challenges actuels. ➡️ Clique ici pour transformer ta vie AUJOURD'HUI Lentement, Sylvie Je te livre ici mes pensées et réflexions rassemblées au fil du temps. Ce n’est pas évident d’aborder un sujet comme celui-ci. Par quel angle le prendre ? Qu’en dire sans faire trop long ni trop court… Mon objectif ici est simplement d’ouvrir une conversation authentique sur ce sujet qui semble assez tabou. J’aimerais comprendre pourquoi ; j’ai quelques idées mais j’aimerais aller plus loin, avec toi par exemple qui lis cet article. Je sens et je sais que le fait de parler de nos pensées suicidaires et de nos envies de passer à l’acte peut changer l’état des choses. Dans ce blog tu verras que je te pose des questions. Si tu as envie de partager quelque chose à ce sujet, de manière visible ou anonyme, tu trouveras mes coordonnées à la fin de cet article. Il y a quelques mois, un ami à moi m’a envoyé un message me disant qu’il en avait assez de cette vie, que c’était trop dur pour lui et qu’il souhaitait me dire au revoir à travers ce texte. Il y a quelques années en recevant un texto comme ça j’aurais complètement paniqué. A mon grand étonnement, je suis restée assez calme, en me disant que c’était plutôt bon signe qu’il en parle, comme un appel à l’aide peut-être et que s’il avait vraiment voulu en finir, il serait surement parti sans rien dire. Alors bien sûr je l’ai appelé, quelqu’un est intervenu et depuis il a reçu les traitements adéquats, il a commencé à remonter la pente, et il a retrouvé l’envie de vivre. Je suis là pour lui du mieux que je peux mais je sais aussi que ce désir d’alléger sa souffrance par la mort est parfois la seule issue que l’on arrive à voir dans des moments de grand désarroi ; j’ai conscience que ça pourrait lui arriver à nouveau, mais pas juste à lui, à moi aussi et au vu des retours sur ce sujet de mes amis et de mes connaissances, probablement aussi à un bien plus grand nombre de personnes que l’on s’imagine, finalement. Cela fait quelques temps que j’aborde ce sujet avec plusieurs personnes en fait, avant même l’histoire de mon ami car cela me questionne beaucoup. D’un côté pas mal de gens qui passent à l’acte, des taux de suicide globalement qui augmentent, et de l’autre des statistiques assez faibles sur le nombre de gens qui avouent y avoir déjà songé. Et oui on en parle peu. C’est assez rare autour d’un diner d’entendre cette question : « et toi, tu as déjà eu envie de mourir ? » Et probablement qu’être dans un espace et un moment où l’on se sent assez en sécurité pour en parler ouvertement est aussi très rare. « Vais-je ruiner l’apéro si je leur dis que je n’ai plus trop envie de vivre en ce moment ? » Du point de vue de la personne suicidaire, d’abord il y a le fait que quand on est dans ce genre de pensées, on peut n’avoir envie d’en parler à personne car c’est juste trop dur à exprimer. On se renferme sur soi, et finalement on rentre dans un dialogue intérieur et unilatérale sans autre perspective.
Ensuite il y a la peur du jugement des autres, qu’on a tous et toutes, pour tout et rien ; mais là c’est la peur de passer pour fou ou faible, d’avouer qu’on va mal, dans un monde où tout le monde prétend aller bien. Il y a aussi peut-être la peur de déranger : on ne veut pas être un poids pour l’autre en lui confiant notre souffrance. C’est comme si on avait créé cette attente qui dit qu’on doit absolument tout le temps aimer la vie, et qu’on n’a pas le droit de crier son désespoir, par peur de déranger, d’être jugé, de ne pas être à la hauteur ? Parce que peut-être quelque chose en nous se dit que par rapport à d’autres on a une vie qui devrait nous satisfaire ? Qu’en penses-tu ? Vois-tu d’autres raisons ? Du côté du receveur de cette information, il y a le questionnement de quoi faire avec cela. Comment peut-on réagir, soutenir, sans paniquer, sans se sentir responsable si notre réponse n’est pas adéquate et qu’on n’a pas pu empêcher la personne de passer à l’acte. Bien sûr que ces pensées et messages ne sont pas à prendre à la légère et que les actes qui peuvent suivre (tentative ou pas) peuvent et doivent faire réagir. Mais en même temps doit-on vraiment en faire un drame ? Doit-on en être si triste et choqué ? C’est comme si en y attachant beaucoup d’importance on s’interdisait d’en parler ouvertement. Au final chacun est responsable de sa vie. Si la personne passe à l’acte c’est son choix. Qui sommes-nous pour juger son niveau de souffrance ? La seule chose que l’on peut faire c’est lui tendre la main pour lui proposer une autre issue, ouvrir une porte de possibilité, dire qu’on est là. En effet souvent un « ok, je suis là pour toi, tu veux m’en dire un peu plus ? Et on va t’aider à trouver de l’aide, ok ? », une écoute et une curiosité attentive et bienveillante peuvent tout changer. C’est assez simple en fait. Il suffit d’écouter son cœur. Mais peut-être vivons-nous trop dans notre tête ? A mon avis, en parler et poser les questions ne va pas inciter quelqu’un à passer à l’action, au contraire. Les gens en souffrance seront soulagés de savoir qu’ils peuvent en parler sans être jugés. On crie notre bonheur à la figure de tout le monde sur les réseaux sociaux, parfois vrai, parfois totalement exagéré, alors pourquoi ne pourrait-on pas aussi afficher notre désarroi? Si on est dans la présence à soi et aux autres, la vraie présence attentive et bienveillante, alors on réalise qu’on est plus que nombreux à avoir eu envie de mourir au moins une fois dans sa vie. On passe tous par des hauts et des bas. Et chez beaucoup d’entre nous, les bas peuvent nous emporter très loin dans la noirceur, au point que la mort apparaît comme une solution, voire la seule solution pour sortir de la souffrance. Je ne sais pas et ne prétends pas savoir quel est le pourcentage de gens qui pensent réellement au suicide ou y ont pensé. Et si on le garde pour soi, cela veut dire que même les recherches sont biaisées. Mon approche ici n’est pas scientifique mais sociale et humaine tout simplement. Je me questionne et je souhaite ouvrir la discussion car je pense qu’il est important d’en parler plus ouvertement. Juste à travers un minuscule post Facebook, j’ai reçu de nombreux messages, alors s’il y a une telle réaction dans mon réseau proche, je me demande ce qu’il en est au-delà et ce que le fait d’ouvrir la conversation peut ou pourrait permettre. Quelqu’un m’a dit « tout le monde y pense ». D’autres m’ont dit, « ah non je n’ai jamais eu ce genre de pensées ». Une autre encore qui m’a dit qu’il avait failli sauté d’un pont il y a quelques années. Une autre personne m’a avoué avoir des pensées suicidaires plusieurs fois par semaine. Choquée ? Pas vraiment. Moi même j’ai eu plusieurs passages à vide dans ma vie, de plus ou moins longue durée. Des moments où je voulais mourir tous les jours. J’ai aussi eu et j’ai de moments de joie intense, de bonheur. On passe tous et toutes moments de vulnérabilité car nous sommes humains. Si je suis vraiment honnête, je pense que j’ai encore des pensées suicidaires au moins une ou deux fois par an. Mais maintenant je sais et je sens que ça va passer. Je sais que je n’agirai pas car c’est temporaire et que je sais que la vie vaut la peine d’être vécue, même dans ces moments noirs. Je sais aussi vers qui ou quoi me tourner dans ces cas-là. J’ai la chance d’être entourée d’une belle communauté bienveillante et je sais aussi accueillir ces moments de grand désespoir, car par mon expérience, je sais que tout est temporaire, les grandes joies comme les grands désarrois. Mais ce n’est pas en niant ces moments, en les enterrant au fond de soi, en les gardant en soi, en s’empêchant d’en parler que nous allons nous en sortir. Ce silence nous tue. Le mensonge nous tue. Afficher son bonheur quand tout va mal nous tue et tue les autres. Et nous sommes tous responsables de changer ça. J’aimerais t’inviter à témoigner. Si tu as peur de parler du suicide, ou de poser cette question à tes amis : as-tu déjà eu envie de mourir ? ou peur qu’on te la pose, pourrais-tu me dire pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe en toi ? Envoie-moi un message : sylvie@laughingbutterfly.ch Mon objectif est d’abord d’ouvrir une conversation, la suite dépendra des réactions et des envies de chacun. Un projet autre ? Un documentaire ? Un livre ? Une plateforme, que sais-je. Idées bienvenues :-) La suite dans le prochain article, Stay tuned. :-) Et pourquoi c’est le moment idéal pour travailler sur toiSi toi aussi tu retrouves le sourire et de l’énergie quand les beaux jours arrivent, je te rassure c’est normal et c’est top ! Profites-en ! La vitamine D, le fait de voir des gens dehors, on devient plus spontanée, on sort plus, on se sent plus légère, on a peut être plus de contact avec la nature, on voit de belles choses, c’est chouette.
Mais même si ce petit coup de boost est très agréable, je ne veux pas te saper le moral mais je t’invite à sortir de l’illusion. C’est un peu comme quand tu pars en vacances, tu déconnectes de ton quotidien, tu te reposes, tu t’amuses, mais quand tu reviens, tes croyances, tes soucis, tes questions existentielles, tes pensées noires sont à nouveau là. Et Ils reviendront tant que tu ne leur as pas fait face correctement, tant que tu n’auras pas mis en place une nouvelle manière de penser, de vivre et de fonctionner. Avoir plus d’énergie c’est super car c’est le bon moment pour justement te confronter à tes plus grandes peurs, tes blocages, tes schémas limitants et répétitifs de comportement. Ce travail de transformation peut se faire dans la joie et la légèreté et être accompagné de la saveur du soleil pour récupérer plus vite et enchaîner les prises de consciences et les petits changements pour prendre de nouvelles habitudes de vie qui te correspondent mieux. Et oui car travailler sur soi demande du courage et de l’énergie. Donc autant en profiter quand tu en as ! C’est la période idéale pour te regarder, t’écouter, suivre ton cœur, prendre du temps pour toi. Alors tu commences quand ? Je profite de cette saison pour me transformer en réservant dès maintenant ton appel diagnostic sur ce lien Aujourd'hui j'aimerais te rappeler la première chose à faire pour aller mieux : investir pour toi et reconnaitre ta valeur. Le temps et l’argent sont deux thèmes profondément importants dans la vie de tout le monde, et encore plus chez les personnes qui font un burn-out. La tendance à se sur-investir dans des projets extérieurs à soi (travail, famille, amis, bénévolat, autres initiatives, formations, etc.) est forte chez les personnes multipotentielles, qui sont aussi souvent très empathiques et ont tendance à s’oublier elles-mêmes au milieu de tout ça. Le retour à soi demande de prendre le temps de le faire. Passer du temps à faire des choses avec soi-même et pour soi-même. Des pratiques corporelles, des exercices d’amour de soi, de la méditation, des balades seules, des temps de repos, etc. Ce temps existe, il suffit de te remettre en priorité. Et je dis « il suffit » car c’est une décision que tu peux prendre à tout moment. Se remettre au centre de sa vie demande cependant de reconnaître sa propre valeur. Et les personnes multipotentielles ont souvent l’impression d’avoir plutôt accumulé des échecs et vivent le syndrome de l’imposteur. Pour changer cela il va falloir changer ses croyances sur soi et sur ce qu’on a accompli. C’est en fait seulement un changement de perspective, de filtre. Et ça se travaille. Un lien existe aussi entre sa réalité financière et la valeur que l’on se donne. Il y a plein de critères qui font que ta réalité financière actuelle est ce qu’elle est aujourd’hui. Ton éducation, tes croyances, le lieu où tu es né-e, ton entourage, ta volonté, ton énergie, les désirs de ton âme, ton chemin de vie, et j’en oublie sûrement. Mais tu peux transformer tout ça à ton avantage. J’aimerais aujourd’hui te parler de ta valeur, ou plutôt de la valeur que tu penses avoir. Car tout le monde a de la valeur. Mais sais-tu quelle valeur tu t’accordes ? Quel temps tu passes à t’occuper de toi, te faire du bien, faire ce qui te fait plaisir, te donne de la joie et de l’énergie. Quelle place te donnes-tu dans ta vie ? Non ce n’est pas égoïste de se donner de la place, car plus tu t’aimes, plus tu peux aimer les autres et leur donner. Si tu ne fais que te mettre en retrait, au bout d’un moment tu seras vide. Je le sais car je suis passée par là et je vois beaucoup de mes clientes être dans ce schéma. Donner pour sauver le monde, sauver les autres, mais s’oublier en chemin et finir au fond du trou. On t’a peut-être inculqué que tu n’as pas de valeur, pas de pouvoir, que tu ne peux ou ne sais pas faire grand-chose et pourtant si tu penses le contraire, tu vas grandir et t’épanouir. C’est la même chose pour l’argent. L’argent est une énergie, un moyen d’échange. Dans notre système sociétal actuel, et on peut penser ce qu’on veut, et peut être que c’est en train de changer et cela changera, pour l’instant on a besoin de l’argent pour échanger des services, donner et recevoir. La loi du donner et recevoir n’est pas forcément unilatérale. Tu peux donner à une personne qui ne te donnera rien en échange. Mais c’est un autre individu qui te donnera à toi et pourtant à lui tu ne lui auras rien donné. Il faut donc accepter de recevoir pour que ça circule. Quand tu donnes à quelqu’un, le fais-tu pour qu’il t’apprécie ou vraiment parce que ça te fait plaisir ? Attends-tu quelque chose en retour ? Quand on donne vraiment, sans attente de résultat, ce qui nous revient en retour est phénoménal, des situations, des portes qui s’ouvrent, des opportunités, synchronicités, etc. Mais pour cela il faut ouvrir son cœur et être prêt à recevoir. Et pour ça la meilleure chose à faire c’est d’apprendre à se donner à soi-même, à recevoir de soi. Tu dois te traiter comme tu aimerais que les autres te traitent, t’aimer comme tu aimerais que les autres t’aiment ; comment peux-tu attendre des autres quelque chose que tu ne sais pas te donner ? Tu veux le respect ? Respecte-toi Tu veux de l’amour ? Aimes-toi Tu veux qu’on reconnaisse ta valeur? Reconnais-la en premier Tu veux de l’argent ? Investis en toi Donc si tu te prives de te donner à toi même ce que tu mérites, comment vas-tu recevoir ce dont tu as besoin ? A combien estimes tu ta valeur financière ? hahahah oui je sais c’est une question bizarre mais quel chiffre vient ? Observe sans juger. A combien estimes tu que tu mérites d’investir sur toi pour t’épanouir et aller mieux ? J’entends souvent des gens qui disent vouloir aller mieux mais ne sont pas prêts à s’investir en temps et en argent pour travailler sur eux. Regarder des vidéos Youtube, c’est bien. Lire des livres de développement personnel aussi. Mais au final c’est te remettre au centre de ta vie qui va t’aider à te transformer et cela a un prix. Cela fait 12 ans que je travaille sur moi. Je suis ultra formée, et j’ai fait des milliers d’heures d’accompagnement. En calculant grossièrement toutes les formations que j’ai faites, je pense que j’ai dû dépenser en gros à peu près 60 000 CHF. Dans mon accompagnement je te transmets la combinaison de mes meilleurs outils et de mon expérience pour t’éviter 10 ans de travail pour te transformer et t’épanouir. Alors à quel montant estimes-tu la valeur d'un accompagnement de cette qualité avec une experte, avec tout ce qui est inclus dedans? Observe tes croyances sur l’argent, le monde, sur toi et ta valeur, et ce que tu mérites dans la vie. C’est quoi le prix que tu mets sur ton apprentissage, ta transformation et ton bonheur ? Envie d'investir enfin pour toi? L'appel diagnostic se réserve sur ce lien: 💰💰"Je prends rendez-vous maintenant!"💰💰 A très bientôt ! Sylvie Le burn-out est malheureusement devenu de plus en plus commun. Les arrêts maladies et l’absentéisme coûtent cher aux entreprises aujourd’hui et ont des conséquences terribles sur les individus.
J’ai fait un burn-out il y a 11 ans. A l’époque c’était un mot encore peu utilisé voire tabou. Aujourd’hui il est devenu presque commun et certaines entreprises se disent « dans la norme » quand elles relèvent les statistiques des employés touchés. Mais rien de tout ceci n’est normal. Face à ce fléau, il semble que notre société soit quelque peu démunie, même si peu à peu des mesures commencent à voir le jour. Pourquoi ? Parce que cette « maladie » pas encore reconnue comme telle d’ailleurs, a de multi-causes et de multi-conséquences, autant sur la santé physique, que mentale et émotionnelle de la personne. Les liens de causes à effets sont extrêmement difficiles à évaluer. Les statistiques et les recherches sont malheureusement biaisées car de nombreuses personnes en burn-out le vivent de manière cachée pour éviter les jugements voire les sanctions. Si les causes sont multiples, cela signifie que les responsabilités le sont également. Comme dans tout type de relation, il y a une part de responsabilité de chaque côté. Si les entreprises sont clairement appelées aujourd’hui à entamer une vraie réflexion, il est aussi primordial que l’individu se questionne sur lui-même. Le troisième aspect est notre mode de vie, et notre société, et de cela nous sommes tous et toutes responsables; il est donc essentiel que nous fassions tous un travail de prise de conscience. Il s’agit bien d’une question sociétale et systémique qui nous ramène à la notion de sens. Mais le sens c’est à nous de le créer. Il est facile de dire que c’est la faute de l’autre. C’est un réflexe courant et humain. D’un côté beaucoup de salariés pensent que c’est la faute de leur entreprise, de leur environnement de travail, de la quantité ou la mauvaise répartition des tâches, des objectifs irréalistes, de la pression extérieure, d’un mauvais management, de relations toxiques, etc. De l’autre côté on trouve des employeurs qui auraient tendance à dire que si leur employé est en burn-out c’est parce qu’il ne sait pas gérer le stress, voire qu’il est faible, ou encore trop ou pas assez qualifié, etc. Et s’il y a du vrai dans tout ça, il me paraît important qu’un dialogue plus authentique et bienveillant s’installe. Car on sait que ce n’est pas en rejetant la faute sur l’autre qu’on va trouver des solutions. A force que tout le monde fasse semblant, porte des masques, de plus en plus de gens s’écroulent quand il est déjà trop tard. Alors qu’il suffirait qu’on commence à s’autoriser à dire quand les choses ne vont pas, à accepter et communiquer notre vulnérabilité au fur et à mesure, tout simplement. Et en face il suffirait d'une oreille ouverte, attentive, compréhensive. Ce n'est pas si compliqué...Cela demande un esprit critique constructif envers l’autre mais aussi envers soi. Cela demande d’être capable de prendre de la distance, comme dans une relation pour voir ce qui vient de soi et ce qui appartient à l’autre, pour se retrouver et réfléchir ensemble à des solutions créatives. Cela revient à se demander : qu’est-ce que j’ai le pouvoir de changer, d’abord en moi? Qu’est-ce qui est important pour moi ? Comment je me ressource, de quoi j’ai besoin ? Comment je passe mon temps ? Est-ce que mes activités me nourrissent ou me pourrissent ? Qu’est-ce je lis, qu’est-ce que j’écoute, de quoi est-ce que je me nourris (au sens propre et figuré) ? Est-ce que je crée du sens et de la joie pour moi et les autres ou est-ce que je fais plutôt des activités qui baissent ma vibration ? Quels sont les liens que je peux et veux créer avec les autres ? Et ces questions autant l’employé que l’employeur doivent se les poser. La peur est souvent l’énergie amène à rejeter la faute sur l’autre. Se remettre en question demande du courage. Remettre en question notre société et nos habitudes demande du courage. Changer demande du courage. Si de plus en plus de gens tombent malade, c’est bien parce que notre manière globale de fonctionner cloche; c’est à nous de nous guérir pour guérir la société, en faisant à la fois un travail individuel et collectif. Nous avons besoin de recréer du sens et de recréer du lien, de vrais liens. ... A suivre... Combien de temps passes-tu dans la nature ?
Je m’appelle Sylvie et c’est peut-être pour ça que je crois beaucoup à la Sylvothérapie… ahaha Savais-tu qu’au Japon les bains de forêt sont utilisés comme thérapie ? Il s’agit de promenade en pleine conscience, d’une immersion des sens. J’ai eu l’occasion d’en organiser quelques-unes là où je vis pour des groupes et personnellement j’en fais le plus souvent possible pour moi-même. Pourquoi ? Parce que la nature soigne, aujourd’hui la science le prouve. Elle apaise, elle régule les émotions, recharge en énergie, booste le système immunitaire, diminue le stress. C’est bien normal si on y pense un peu. Nous sommes des êtres de la nature, mais la manière dont nous avons construit notre société nous en éloigne. Si tu es souvent anxieuse, je t’invite à tester entre autres : -le jardinage, ou trouve un moyen de mettre les mains dans la terre -les promenades en forêt, à la campagne ou dans même dans un parc -marcher pieds nus dans l’herbe ou sur le sable -faire un câlin à un arbre et synchroniser ta respiration avec la sienne, et oui tu verras, les arbres ont un « battement de cœur » -passer du temps avec des animaux -nager dans un lac ou la mer La fréquence vibratoire de la Terre augmente très rapidement et nous avons du mal à nous y ajuster, physiquement et énergétiquement. Plus tu seras en contact avec la nature et plus tu pourras ajuster ta fréquence, et donc plus tu seras en bonne santé, physique et émotionnelle. Pour cela il est important de t’ouvrir à accueillir tout ce qui se passe quand tu es dans la nature. Dans mon accompagnement, une partie se passe dans la nature pour cette raison. Les deux hémisphères du cerveau ont plus de facilité à travailler ensemble, et on débloque les choses plus rapidement. Intéressée d’en savoir plus ? Réserve ton appel diagnostic maintenant avec un coach de mon équipe ➡️ en cliquant ici Envie d’avoir plus d’énergie? Faites quelque chose qui vous apporte de la joie. Envie d’avoir moins de brouhaha dans votre mental? Faites quelque chose qui vous fait du bien. Envie d’être moins stressé-e? Faites quelque chose qui vous fait plaisir. Envie de mieux vous connaître et de vous déployer? Suivez ce qui vous fait vibrer! Et oui suivre la joie vous apportera tout ça. Ça a l’air simple ? Ca l’est. Faisons un test ensemble Rappelez-vous la dernière fois où vous avez ressenti de la joie. Peu importe si ça fait longtemps ou si c’est récent. Laissez venir à vous une situation. Où vous étiez, qu’est-ce que vous étiez en train de faire ; étiez-vous seul-e, ou avec d’autres personnes ; replongez-vous dans la situation comme si vous y étiez. Revoyez-vous sourire, souriez maintenant, entendez-vous rire, riez maintenant à nouveau. Revivez cet événement avec tous vos sens. Que voyez-vous autour de vous ? Qu’entendez-vous ? Avec quoi ou qui êtes-vous en contact ? Que se passe-t-il ? Que sentez-vous ? Y –a-t-il des odeurs particulières ? Quel goût est dans votre bouche ? Comment est votre corps physique ? Que vous raconte votre mental dans cette situation ? Est-ce qu’il vous raconte quelque chose ou est-ce que vous vous autorisez à vivre ? Quelles sont vos sensations corporelles ? Quelles sont les émotions liées au bonheur qui vous traversent ? Reconnectez vous à cette situation, revivez la, laissez-vous porter par elle et par vos sens. Comment est votre corps ? Connectez-vous à cette joie, l’appréciation, peut-être même la gratitude de vivre un moment comme ça ? La satisfaction, le plaisir ? Comment est votre corps ? Est-ce que vous sentez une ouverture au niveau de la poitrine, une sorte de légèreté, d’expansion ? Avez-vous l’impression d’avoir plus d’énergie que d’habitude ? Y a t-il d’autres choses ? Vous avez en vous cette joie et cette joie est dans votre corps. Elle est là. Peut-être que ça fait longtemps que vous ne l’avez pas vraiment ressenti, ou peut-être qu’elle pointe son nez de temps en temps.
Et que se passerait-il si elle était là plus souvent ? Cette joie ? Cette joie simple qui permet de se laisser vivre, tel un enfant, dans la spontanéité et la curiosité. Dans le quotidien, il se peut qu’on se laisse envahir par les obligations, les « il faut que », et « je dois ». Peu à peu la fatigue, le stress, voir la tristesse nous envahissent. Sous-jacent il y a même surement un peu de colère et de frustration qu’on n’ose pas trop exprimer. La joie, le bonheur, c’est ce qu’on recherche tous et toutes. Et pourtant le pilote automatique peut parfois rester coincé sur la plainte, la froideur, la lassitude et l’épuisement. Si je vous disais que la joie est la voie à suivre et pas le but ni la fin du chemin ? Quand on est dans la joie on a plus d’énergie, on est dans l’ouverture, on peut recevoir des choses qu’on n’aurait même pas imaginer possible. Le mental est sécurisé, plus clair et moins bruyant. Alors si au lieu de rester dans les peurs et les obligations vous suiviez ce qui vous fait vibrer, vous fait plaisir, vous fait rire, un peu chaque jour pour commencer. Puis de plus en plus… Votre vie se transformera. Je vous le promets. Alors comment faire ? D’abord il est important de savoir ce qui vous fait plaisir. Faites une liste, testez des nouvelles choses. Quand vous faites ceci ou cela est-ce que c’est agréable ou agréable, est-ce que vous ressentez de la joie, de l’ouverture ou est-ce que c’est lourd et contraignant ? Notez, gardez ce qui marche, laissez le reste, continuez de tester. Il est important aussi de lâcher les croyances limitantes et les blocages conscients et inconscients qui pourraient vous empêcher de vous autoriser à être plus souvent dans l’expérience de la joie, et à vous honorer vraiment, à faire de vous la personne numéro un de votre vie. Ceci peut être travaillé de différentes manières bien entendu, et souvent on a besoin d’aide pour lâcher les limitations qu’on se met à soi, la culpabilité de se faire plaisir, etc : thérapie, coaching, soins alternatifs, trouvez ce qui vous convient mais ne restez pas en mode survie. La vie vaut la peine d’être vécue, encore faut-il s’en donner les moyens… Pour ma part je vous propose différents types de soutien et chacun peut y trouver ce qui lui convient : Réservez votre séance diagnostic ici |
AuthorSylvie Meynier Categories
All
|